Retis
Charles Fleury et les élèves de l’École secondaire Vanier (Québec, Québec), Parade des imaginaires, 2021
Passages insolites, Ville de Québec
« Une joyeuse ménagerie peuplée de personnages et d’objets hybrides se déploie sur le mur de la Côte de la Potasse. La composition dynamique est issue d’une création collective mettant à profit la technique du collage. Délimités à des silhouettes lisibles qui se détachent de la surface, d’innombrables fragments d’images et extraits de textes ont été récupérés dans les revues et les journaux puis découpés, réagencés, juxtaposés et superposés en visuels bigarrés.
Avec ses amalgames formels et ses associations incongrues, le désordre suggéré par le rendu hétéroclite de la murale laisse présager des procédés aléatoires à la manière des surréalistes. Malgré leurs apparences fortuites, les agencements improbables sont pourtant délibérément réfléchis et choisis par les jeunes créateurs en ateliers dirigés pour représenter les différentes facettes de leur propre identité. Cette Parade des imaginaires se veut donc un autoportrait collectif où cohabitent l’image que l’on se fait de soi et celle que l’on projette aux autres. »
« Je vous invite à parcourir l’œuvre et à regarder les éléments autant de loin que de proche. Il y a quelque chose d’intéressant dans ce rapprochement parce que vous pouvez observer le travail des étudiants de l’École Vanier dans les découpures de journaux et dans la sélection. » – Charles Fleury
Charles Fleury et les élèves de l’École secondaire Vanier (Québec, Québec), Parade des imaginaires, 2021
Passages insolites, Ville de Québec
« Une joyeuse ménagerie peuplée de personnages et d’objets hybrides se déploie sur le mur de la Côte de la Potasse. La composition dynamique est issue d’une création collective mettant à profit la technique du collage. Délimités à des silhouettes lisibles qui se détachent de la surface, d’innombrables fragments d’images et extraits de textes ont été récupérés dans les revues et les journaux puis découpés, réagencés, juxtaposés et superposés en visuels bigarrés.
Avec ses amalgames formels et ses associations incongrues, le désordre suggéré par le rendu hétéroclite de la murale laisse présager des procédés aléatoires à la manière des surréalistes. Malgré leurs apparences fortuites, les agencements improbables sont pourtant délibérément réfléchis et choisis par les jeunes créateurs en ateliers dirigés pour représenter les différentes facettes de leur propre identité. Cette Parade des imaginaires se veut donc un autoportrait collectif où cohabitent l’image que l’on se fait de soi et celle que l’on projette aux autres. »
« Je vous invite à parcourir l’œuvre et à regarder les éléments autant de loin que de proche. Il y a quelque chose d’intéressant dans ce rapprochement parce que vous pouvez observer le travail des étudiants de l’École Vanier dans les découpures de journaux et dans la sélection. » – Charles Fleury