Retis
Stéphanie Morissette, Volière - Avary, installation, 2017
Palais des congrès de Montréal, Art Souterrain, 2019
Volière est une grande cage d’oiseau d’acier qui est occupée par de faux spécimens d’oiseaux, ici des drones recouverts de plumes de papier et des oiseaux hybrides, entre l’animal et l’objet mécanique. Ces oiseaux-drones présentent un faux monde exotique, une transgression dans la théorie de l’évolution de Darwin et donc mettent en doute l’histoire des espèces animales et nos connaissances. La fausse représentation animale, ici présentée en cage, est aussi un outil d’observation et d’espionnage qui permet de nous renvoyer notre propre regard curieux, car le spectateur est observé ici par cet engin manipulé par on ne sait qui. Volière permet de nous questionner sur ces spécimens hybrides et le drone qui prend de plus en plus de place dans l’espace public, dans le ciel parmi les oiseaux et dans l’espace aérien, entre autres, des pays espionnés par nos gouvernements.
Commissaire : Art Souterrain
Stéphanie Morissette a participé à plusieurs programmes de résidences au Canada, en Allemagne, en Finlande et en Islande. Ses œuvres ont été présentées dans le cadre d’événements d’envergure tels que l’International Symposium of Electronic Arts (ISEA) à Hong Kong (2016), le Women Makes Waves Film and Video Festival à Taiwan (2011) ainsi que la 10e Biennale internationale d’art contemporain d’Istanbul (2007). Stéphanie Morissette est récipiendaire du Prix du CALQ – œuvre de l’année 2017 en Estrie. Elle vit et travaille à Sherbrooke.
Stéphanie Morissette, Volière - Avary, installation, 2017
Palais des congrès de Montréal, Art Souterrain, 2019
Volière est une grande cage d’oiseau d’acier qui est occupée par de faux spécimens d’oiseaux, ici des drones recouverts de plumes de papier et des oiseaux hybrides, entre l’animal et l’objet mécanique. Ces oiseaux-drones présentent un faux monde exotique, une transgression dans la théorie de l’évolution de Darwin et donc mettent en doute l’histoire des espèces animales et nos connaissances. La fausse représentation animale, ici présentée en cage, est aussi un outil d’observation et d’espionnage qui permet de nous renvoyer notre propre regard curieux, car le spectateur est observé ici par cet engin manipulé par on ne sait qui. Volière permet de nous questionner sur ces spécimens hybrides et le drone qui prend de plus en plus de place dans l’espace public, dans le ciel parmi les oiseaux et dans l’espace aérien, entre autres, des pays espionnés par nos gouvernements.
Commissaire : Art Souterrain
Stéphanie Morissette a participé à plusieurs programmes de résidences au Canada, en Allemagne, en Finlande et en Islande. Ses œuvres ont été présentées dans le cadre d’événements d’envergure tels que l’International Symposium of Electronic Arts (ISEA) à Hong Kong (2016), le Women Makes Waves Film and Video Festival à Taiwan (2011) ainsi que la 10e Biennale internationale d’art contemporain d’Istanbul (2007). Stéphanie Morissette est récipiendaire du Prix du CALQ – œuvre de l’année 2017 en Estrie. Elle vit et travaille à Sherbrooke.
