Eric DOLLET - Ici et ailleurs
Pour vivre heureux vivons cachés ?
Pour vivre heureux, vivons cachés ? Cette question, injonction, invitation nous invite à nous interroger sur une thèse épicurienne qui affirmait que pour être heureux, mieux vaut vivre caché ! En effet le bonheur ne se vivrait pas en public, avec autrui – le bonheur serait de l'ordre de la sphère privée. Cela nécessite-t-il par conséquent que vivre en société, en commun est nécessairement source de maux ? L'enfer comme le dit Sartre est-ce les autres ? Ou alors ne s'accomplit-on pas nécessairement dans la société, dans un vivre ensemble – public ? Quand bien même le bonheur de notre sphère privée, peut-il avoir lieu dans une collectivité en guerre ? La société n'est-elle pas une condition suffisante - à défaut d'être nécessaire de notre bonheur ?
Pour vivre heureux vivons cachés ?
Pour vivre heureux, vivons cachés ? Cette question, injonction, invitation nous invite à nous interroger sur une thèse épicurienne qui affirmait que pour être heureux, mieux vaut vivre caché ! En effet le bonheur ne se vivrait pas en public, avec autrui – le bonheur serait de l'ordre de la sphère privée. Cela nécessite-t-il par conséquent que vivre en société, en commun est nécessairement source de maux ? L'enfer comme le dit Sartre est-ce les autres ? Ou alors ne s'accomplit-on pas nécessairement dans la société, dans un vivre ensemble – public ? Quand bien même le bonheur de notre sphère privée, peut-il avoir lieu dans une collectivité en guerre ? La société n'est-elle pas une condition suffisante - à défaut d'être nécessaire de notre bonheur ?