Fait de société : la nouvelle façon de photographier (un article écrit par Délirium aigu)
Cartier Bresson, Capa, Doisneau et tant d'autres... De grands noms de la photo.
A l'heure où nous écrivons ces lignes, il est à parier que ces trois là lèvent les yeux au ciel (où ils sont de toute façon) ou les avoir écarquillés.
En effet, une réaction de " photographes argentiques" qu'on peut comprendre à la vue de cette photo ci-jointe.
On pourrait comparer l'évolution de la photo à celle de l'amour.
Autrefois argentique, la photo était protocolaire : un appareil, une pellicule, un laboratoire.
Chaque photographe prenant son temps pour élaborer une photo. On pourrait alors parler de préliminaires (comme dans l'amour) quand on y pense. Penser sa photo, préparer soigneusement son réglage, l'adapter, bien choisir sa pellicule, se donner rendez-vous avec celle-ci. Puis, une fois la pellicule remplie, l'emmener dans une chambre noire, la révéler, la chouchouter, la découvrir.
Grand chamboulement, d'argentique la photo est devenue numérique. Un passage dans une autre réalité, dans une autre approche.
On s'y est fait, on y a trouvé des avantages et on pensait qu'on en resterait là un moment mais voilà qu'aujourd'hui, dans une société où tout va vite, où l'immédiateté est omniprésente, où la notion de temps n'est plus qu'un vague concept, une nouvelle manière de vivre la photo fait jour (voir la photo).
Certains la comparent au speed dating (vous savez, cette manière de " rencontrer " l'autre, le potentiel amour en 7 minutes); d'autres l'appellent " La Mac Do photo".
Une artiste connue, Zazie, a même tenu à écrire un texte inspiré de cette photo.
La voici donc :
Pour conclure et finir sur une note positive, on peut juste se dire que finalement, l'important est que la passion de la photo n'ait pas faibli (bli, bli, bli).
Signé " Délirium aigu"
(Désolée pour mon délire sur cette photo mais parfois, faut lâcher les conneries)
Fait de société : la nouvelle façon de photographier (un article écrit par Délirium aigu)
Cartier Bresson, Capa, Doisneau et tant d'autres... De grands noms de la photo.
A l'heure où nous écrivons ces lignes, il est à parier que ces trois là lèvent les yeux au ciel (où ils sont de toute façon) ou les avoir écarquillés.
En effet, une réaction de " photographes argentiques" qu'on peut comprendre à la vue de cette photo ci-jointe.
On pourrait comparer l'évolution de la photo à celle de l'amour.
Autrefois argentique, la photo était protocolaire : un appareil, une pellicule, un laboratoire.
Chaque photographe prenant son temps pour élaborer une photo. On pourrait alors parler de préliminaires (comme dans l'amour) quand on y pense. Penser sa photo, préparer soigneusement son réglage, l'adapter, bien choisir sa pellicule, se donner rendez-vous avec celle-ci. Puis, une fois la pellicule remplie, l'emmener dans une chambre noire, la révéler, la chouchouter, la découvrir.
Grand chamboulement, d'argentique la photo est devenue numérique. Un passage dans une autre réalité, dans une autre approche.
On s'y est fait, on y a trouvé des avantages et on pensait qu'on en resterait là un moment mais voilà qu'aujourd'hui, dans une société où tout va vite, où l'immédiateté est omniprésente, où la notion de temps n'est plus qu'un vague concept, une nouvelle manière de vivre la photo fait jour (voir la photo).
Certains la comparent au speed dating (vous savez, cette manière de " rencontrer " l'autre, le potentiel amour en 7 minutes); d'autres l'appellent " La Mac Do photo".
Une artiste connue, Zazie, a même tenu à écrire un texte inspiré de cette photo.
La voici donc :
Pour conclure et finir sur une note positive, on peut juste se dire que finalement, l'important est que la passion de la photo n'ait pas faibli (bli, bli, bli).
Signé " Délirium aigu"
(Désolée pour mon délire sur cette photo mais parfois, faut lâcher les conneries)