Long Term Parking par Armand 1982 à la Fondation Cartier est située dans le domaine du Montcel à Jouy-en-Josas
Long Term Parking est une œuvre monumentale d'art contemporain, édifiée en 1982 par Arman au domaine du Montcel - Hotel Dolce by Wyndham Versailles, ex-siège de la Fondation Cartier à Jouy-en-Josas dans les Yvelines. Il s'agit d'une accumulation par empilement de 59 véritables carcasses d'automobiles superposées les unes sur les autres, coulées dans 1 600 tonnes de béton.
Description
Haute de 19,50 mètres, large de 6 mètres, elle contient 59 voitures qu'Arman a repeintes après qu'elles eurent été dégagées en partie du béton, en choisissant leur couleur fluo en fonction de leur emplacement et des proportions réalistes en circulation à l'époque.
L'ensemble pèse 2 050 tonnes (dont 1 600 de béton)[1].
Histoire
Sa construction a coûté plus d'un million de francs à l'époque. Le mécénat de l'œuvre est dû à Jean Hamon[2].
L'inauguration a eu lieu en novembre 1982[3].
Cette tour a été l'objet de controverses. L'« association des amis de la vallée de la Bièvre » a mené sans succès son auteur en justice pour la faire déplacer[4].
Elle a été inscrite au programme d'arts plastiques facultatif pour le baccalauréat en 2007[5], 2008[6] et 2009[7].
Cette sculpture se veut évolutive. Dès sa création, Arman souhaitait voir les pneus pourrir, les carrosseries rouiller et se désagréger. Près de 40 ans après sa création[8], le temps a fait son œuvre, et certaines voitures sont bien endommagées. La finalité de l'œuvre sera la disparition totale des voitures, laissant apparaître les emplacements dans le béton.
Long Term Parking par Armand 1982 à la Fondation Cartier est située dans le domaine du Montcel à Jouy-en-Josas
Long Term Parking est une œuvre monumentale d'art contemporain, édifiée en 1982 par Arman au domaine du Montcel - Hotel Dolce by Wyndham Versailles, ex-siège de la Fondation Cartier à Jouy-en-Josas dans les Yvelines. Il s'agit d'une accumulation par empilement de 59 véritables carcasses d'automobiles superposées les unes sur les autres, coulées dans 1 600 tonnes de béton.
Description
Haute de 19,50 mètres, large de 6 mètres, elle contient 59 voitures qu'Arman a repeintes après qu'elles eurent été dégagées en partie du béton, en choisissant leur couleur fluo en fonction de leur emplacement et des proportions réalistes en circulation à l'époque.
L'ensemble pèse 2 050 tonnes (dont 1 600 de béton)[1].
Histoire
Sa construction a coûté plus d'un million de francs à l'époque. Le mécénat de l'œuvre est dû à Jean Hamon[2].
L'inauguration a eu lieu en novembre 1982[3].
Cette tour a été l'objet de controverses. L'« association des amis de la vallée de la Bièvre » a mené sans succès son auteur en justice pour la faire déplacer[4].
Elle a été inscrite au programme d'arts plastiques facultatif pour le baccalauréat en 2007[5], 2008[6] et 2009[7].
Cette sculpture se veut évolutive. Dès sa création, Arman souhaitait voir les pneus pourrir, les carrosseries rouiller et se désagréger. Près de 40 ans après sa création[8], le temps a fait son œuvre, et certaines voitures sont bien endommagées. La finalité de l'œuvre sera la disparition totale des voitures, laissant apparaître les emplacements dans le béton.