Exoplanète Trappist-1 e (Weeb-NIRSpec)
TRAPPIST-1 e est la quatrième exoplanète tellurique du système planétaire de l'étoile naine TRAPPIST-1, située à une quarantaine d'années-lumière de la Terre dans la constellation du Verseau (Aquarius). Parmi les sept planètes de la taille de la Terre en orbite autour de la naine rouge TRAPPIST-1, la planète e présente un intérêt particulier, gravitant autour de l'étoile à une distance où la présence d'eau à sa surface est théoriquement possible, ni trop chaude, ni trop froide, mais seulement si la planète possède une atmosphère. C'est là que Webb intervient. Les chercheurs ont pointé le puissant instrument NIRSpec Grâce au spectrographe proche infrarouge (NIRSpec) du Weeb alors que la planète e transitait ou passait devant son étoile. le spectre lumineux indique les composés chimiques qui s'y trouvent et à chaque transit supplémentaire, le contenu atmosphérique devient plus clair à mesure de la collecte des données sont collectées.
Bien que de nombreuses hypothèses restent ouvertes pour la planète e, seuls quatre transits ayant été analysés jusqu'à présent, la planète ne possède a priori plus son atmosphère primaire ou d'origine. L' étoile très active connaissant de fréquentes éruptions, il n'est donc pas surprenant que l'atmosphère d'hydrogène-hélium ayant peut être formé la planète ait été détruite par le rayonnement stellaire. Cependant, de nombreuses planètes, dont la Terre, développent une atmosphère secondaire plus lourde après avoir perdu leur atmosphère primaire. Il est possible que la planète e n'ait jamais pu le faire et qu'elle ne possède pas d'atmosphère secondaire.
Il est peu probable que l'atmosphère de l'exoplanète de l'étoile l'exoplanète TRAPPIST-1 e soit dominée par le dioxyde de carbone, comme celle épaisse de Vénus et la fine atmosphère de Mars et donc aucun parallèle direct avec le système solaire. L'étoile TRAPPIST-1 étant très différente du Soleil, le système planétaire qui l'entoure l'est donc également, ce qui remet en question des hypothèses observationnelles surtout théoriques.
Si de l'eau liquide est présente sur TRAPPIST-1 e, celle-ci s'accompagnerait d'un effet de serre, dans lequel divers gaz, en particulier le dioxyde de carbone, maintiendraient la stabilité de l'atmosphère et la température de la planète.
Si les mesures n'excluent pas une quantité suffisante de dioxyde de carbone pour maintenir un peu d'eau à sa surface, l'eau pourrait y prendre la forme d'un océan global ou couvrir une zone plus petite de la planète où l'étoile est en perpétuel midi, entourée de glace. Cela serait possible car, en raison de la taille des planètes de TRAPPIST-1 et de leurs orbites proches de leur étoile, celles-ci sont probablement toutes verrouillées par les marées, avec un côté toujours face à l'étoile et un côté toujours dans l'obscurité.
Description de l'image
Dans la reprédentarion artistique du système stellaire de l'étoile TRAPPIST-1, le fond est noir. À l'extrême gauche se trouve une représentation de l'étoile TRAPPIST-1, naine de classe M qui apparaît comme un demi-cercle jaune-orange brillant. À droite de l'étoile, les illustrations de ses sept planètes sont présentées sur deux lignes. Les planètes b, c, d et e sont sur la première ligne, tandis que les planètes f, g et h sont sur la deuxième. Elles ressemblent toutes à des billes d'argile marbrées dans des tons bruns et verts foncés. La planète TRAPPIST-1 e, la quatrième en partant de l'étoile, a été mise en évidence, les autres étant atténuées pour être moins visibles (cf. NASA/JPL-Caltech/R. Hurt, T. Pyle IPAC).
Pour situer l'étoile naine TRAPPIST-1 dans la constellation du Verseau (Aquarius) :
www.flickr.com/photos/7208148@N02/48845843028
Exoplanète Trappist-1 e (Weeb-NIRSpec)
TRAPPIST-1 e est la quatrième exoplanète tellurique du système planétaire de l'étoile naine TRAPPIST-1, située à une quarantaine d'années-lumière de la Terre dans la constellation du Verseau (Aquarius). Parmi les sept planètes de la taille de la Terre en orbite autour de la naine rouge TRAPPIST-1, la planète e présente un intérêt particulier, gravitant autour de l'étoile à une distance où la présence d'eau à sa surface est théoriquement possible, ni trop chaude, ni trop froide, mais seulement si la planète possède une atmosphère. C'est là que Webb intervient. Les chercheurs ont pointé le puissant instrument NIRSpec Grâce au spectrographe proche infrarouge (NIRSpec) du Weeb alors que la planète e transitait ou passait devant son étoile. le spectre lumineux indique les composés chimiques qui s'y trouvent et à chaque transit supplémentaire, le contenu atmosphérique devient plus clair à mesure de la collecte des données sont collectées.
Bien que de nombreuses hypothèses restent ouvertes pour la planète e, seuls quatre transits ayant été analysés jusqu'à présent, la planète ne possède a priori plus son atmosphère primaire ou d'origine. L' étoile très active connaissant de fréquentes éruptions, il n'est donc pas surprenant que l'atmosphère d'hydrogène-hélium ayant peut être formé la planète ait été détruite par le rayonnement stellaire. Cependant, de nombreuses planètes, dont la Terre, développent une atmosphère secondaire plus lourde après avoir perdu leur atmosphère primaire. Il est possible que la planète e n'ait jamais pu le faire et qu'elle ne possède pas d'atmosphère secondaire.
Il est peu probable que l'atmosphère de l'exoplanète de l'étoile l'exoplanète TRAPPIST-1 e soit dominée par le dioxyde de carbone, comme celle épaisse de Vénus et la fine atmosphère de Mars et donc aucun parallèle direct avec le système solaire. L'étoile TRAPPIST-1 étant très différente du Soleil, le système planétaire qui l'entoure l'est donc également, ce qui remet en question des hypothèses observationnelles surtout théoriques.
Si de l'eau liquide est présente sur TRAPPIST-1 e, celle-ci s'accompagnerait d'un effet de serre, dans lequel divers gaz, en particulier le dioxyde de carbone, maintiendraient la stabilité de l'atmosphère et la température de la planète.
Si les mesures n'excluent pas une quantité suffisante de dioxyde de carbone pour maintenir un peu d'eau à sa surface, l'eau pourrait y prendre la forme d'un océan global ou couvrir une zone plus petite de la planète où l'étoile est en perpétuel midi, entourée de glace. Cela serait possible car, en raison de la taille des planètes de TRAPPIST-1 et de leurs orbites proches de leur étoile, celles-ci sont probablement toutes verrouillées par les marées, avec un côté toujours face à l'étoile et un côté toujours dans l'obscurité.
Description de l'image
Dans la reprédentarion artistique du système stellaire de l'étoile TRAPPIST-1, le fond est noir. À l'extrême gauche se trouve une représentation de l'étoile TRAPPIST-1, naine de classe M qui apparaît comme un demi-cercle jaune-orange brillant. À droite de l'étoile, les illustrations de ses sept planètes sont présentées sur deux lignes. Les planètes b, c, d et e sont sur la première ligne, tandis que les planètes f, g et h sont sur la deuxième. Elles ressemblent toutes à des billes d'argile marbrées dans des tons bruns et verts foncés. La planète TRAPPIST-1 e, la quatrième en partant de l'étoile, a été mise en évidence, les autres étant atténuées pour être moins visibles (cf. NASA/JPL-Caltech/R. Hurt, T. Pyle IPAC).
Pour situer l'étoile naine TRAPPIST-1 dans la constellation du Verseau (Aquarius) :
www.flickr.com/photos/7208148@N02/48845843028