N° 10 (Rothko)
Huile sur toile, 230 x 145 cm, 1950, Moma, New York.
Entre 1949 et 1950, Rothko simplifie les compositions de ses premières peintures d'inspiration surréaliste pour arriver à ce qui deviendra sa signature. Ici, il divise la toile horizontalement en trois plans dominants qui se fondent doucement les uns dans les autres. Les grands passages de couleurs chaudes et froides de l'œuvre créent un champ subtilement pulsé. Rothko souhaitait que ses peintures éveillent les spectateurs à l’émotion humaine : "Il n’existe pas de bonne peinture sur rien", affirmait-il. Il souhaitait également que le spectateur regarde ses peintures de près pour s'envelopper dans leurs compositions et s'immerger dans les émotions qu'elles expriment (cf. Moma).
N° 10 (Rothko)
Huile sur toile, 230 x 145 cm, 1950, Moma, New York.
Entre 1949 et 1950, Rothko simplifie les compositions de ses premières peintures d'inspiration surréaliste pour arriver à ce qui deviendra sa signature. Ici, il divise la toile horizontalement en trois plans dominants qui se fondent doucement les uns dans les autres. Les grands passages de couleurs chaudes et froides de l'œuvre créent un champ subtilement pulsé. Rothko souhaitait que ses peintures éveillent les spectateurs à l’émotion humaine : "Il n’existe pas de bonne peinture sur rien", affirmait-il. Il souhaitait également que le spectateur regarde ses peintures de près pour s'envelopper dans leurs compositions et s'immerger dans les émotions qu'elles expriment (cf. Moma).