Judith II (Klimt)
Huile sur toile, 178 x 146 cm, 1909, Galerie internationale d'art moderne, Venise.
Dans la version de 1901, Judith conserve une fascination et une sensualité magnétiques, abandonnées ensuite par Klimt dans sa Judith II, où elle acquiert des traits plus nets et une expression féroce. Dans ses qualités formelles, la première version illustre une héroïne ayant les caractéristiques archétypales des dames envoûtantes et charmantes décrites par les artistes et écrivains symbolistes tels que Wilde, Vasnetsov, Moreau et d'autres. Elle se délecte de son pouvoir et de sa sexualité, à tel point que les critiques ont confondu la Judith de Klimt avec Salomé, le personnage-titre de la tragédie d'Oscar Wilde de 1891. Pour souligner et réaffirmer que la femme était bien Judith et non Salomé, il a demandé à son frère, Georg, de fabriquer pour lui le cadre métallique sur lequel était gravé "Judith et Holopherne" (cf. wikipédia)
Judith II (Klimt)
Huile sur toile, 178 x 146 cm, 1909, Galerie internationale d'art moderne, Venise.
Dans la version de 1901, Judith conserve une fascination et une sensualité magnétiques, abandonnées ensuite par Klimt dans sa Judith II, où elle acquiert des traits plus nets et une expression féroce. Dans ses qualités formelles, la première version illustre une héroïne ayant les caractéristiques archétypales des dames envoûtantes et charmantes décrites par les artistes et écrivains symbolistes tels que Wilde, Vasnetsov, Moreau et d'autres. Elle se délecte de son pouvoir et de sa sexualité, à tel point que les critiques ont confondu la Judith de Klimt avec Salomé, le personnage-titre de la tragédie d'Oscar Wilde de 1891. Pour souligner et réaffirmer que la femme était bien Judith et non Salomé, il a demandé à son frère, Georg, de fabriquer pour lui le cadre métallique sur lequel était gravé "Judith et Holopherne" (cf. wikipédia)