Barre de la nébuleuse d'Orion (Weeb-NIRCam)
Cette image prise par la caméra NIRCam de Webb montre une partie de la nébuleuse d'Orion, connue sous le nom de barre d'Orion. Dans cette région où la lumière ultraviolette énergétique de l'amas du trapèze interagit avec des nuages moléculaires denses, l'énergie du rayonnement stellaire érode lentement cette barre, ce qui a un effet profond sur les molécules et la chimie des disques protoplanétaires qui se sont formés ici autour des étoiles naissantes.
Au centre même de la zone recueillie par l'instrument MIRI (voir photo suivante), se trouve un jeune système stellaire avec un disque protoplanétaire nommé d203-506 (petite naine rouge), dans je jeune amas du Trapèze à environ 1 350 années-lumière de la Terre dans la nébuleuse d'Orion. Le Trapèze est un amas relativement jeune formé directement à partir de la nébuleuse parente. Ses cinq étoiles les plus brillantes font environ 15-30 masses solaires, sont situées à l'intérieur d'un volume de 1,5 année-lumière de diamètre et à l'origine de l'essentiel de l'illumination de la nébuleuse environnante. Le Trapèze pourrait faire partie du plus vaste amas de la Nébuleuse d'Orion, groupe d'environ 2 000 étoiles à l'intérieur d'un diamètre de 20 années-lumière.
Dans cette zone, une nouvelle molécule de carbone, connue sous le nom de cation méthyle (CH3+), y a été observée pour la première fois. Le rayonnement UV détruisant des molécules organiques complexes, la découverte de CH3+ pourrait sembler une surprise, mais ce rayonnement UV pourrait en fait fournir la source d'énergie nécessaire pour que le cation méthyle CH3+ se forme en premier lieu et favorise ensuite des réactions chimiques supplémentaires pour construire des molécules de carbone plus complexes. "Cela montre clairement que le rayonnement ultraviolet peut complètement changer la chimie d'un disque protoplanétaire et jouerait en fait un rôle critique dans les premiers stades chimiques des origines de la vie" (Olivier Berné, Centre national français de la recherche scientifique de Toulouse).
Pour situer la nébuleuse d'Orion M 42 dans sa constellation :
Barre de la nébuleuse d'Orion (Weeb-NIRCam)
Cette image prise par la caméra NIRCam de Webb montre une partie de la nébuleuse d'Orion, connue sous le nom de barre d'Orion. Dans cette région où la lumière ultraviolette énergétique de l'amas du trapèze interagit avec des nuages moléculaires denses, l'énergie du rayonnement stellaire érode lentement cette barre, ce qui a un effet profond sur les molécules et la chimie des disques protoplanétaires qui se sont formés ici autour des étoiles naissantes.
Au centre même de la zone recueillie par l'instrument MIRI (voir photo suivante), se trouve un jeune système stellaire avec un disque protoplanétaire nommé d203-506 (petite naine rouge), dans je jeune amas du Trapèze à environ 1 350 années-lumière de la Terre dans la nébuleuse d'Orion. Le Trapèze est un amas relativement jeune formé directement à partir de la nébuleuse parente. Ses cinq étoiles les plus brillantes font environ 15-30 masses solaires, sont situées à l'intérieur d'un volume de 1,5 année-lumière de diamètre et à l'origine de l'essentiel de l'illumination de la nébuleuse environnante. Le Trapèze pourrait faire partie du plus vaste amas de la Nébuleuse d'Orion, groupe d'environ 2 000 étoiles à l'intérieur d'un diamètre de 20 années-lumière.
Dans cette zone, une nouvelle molécule de carbone, connue sous le nom de cation méthyle (CH3+), y a été observée pour la première fois. Le rayonnement UV détruisant des molécules organiques complexes, la découverte de CH3+ pourrait sembler une surprise, mais ce rayonnement UV pourrait en fait fournir la source d'énergie nécessaire pour que le cation méthyle CH3+ se forme en premier lieu et favorise ensuite des réactions chimiques supplémentaires pour construire des molécules de carbone plus complexes. "Cela montre clairement que le rayonnement ultraviolet peut complètement changer la chimie d'un disque protoplanétaire et jouerait en fait un rôle critique dans les premiers stades chimiques des origines de la vie" (Olivier Berné, Centre national français de la recherche scientifique de Toulouse).
Pour situer la nébuleuse d'Orion M 42 dans sa constellation :