La Seine à Port-Villez, effet du soir (C Monet - W 1379)
Huile sur toile, 52 x 92 cm, 1894 (W 1379), musée Marmottan, Paris.
Dans les deux tableaux La Seine à Port-Villez, effet du soir (W 1379) et La Seine à Port-Villez, effet rose (W 1380), C Monet accorde la même importance aux reflets qu'au réél. Le fleuve immobile devient un véritable miroir qui reflète le ciel. L'eau s'y confond dans une harmonie dorée presque monochrome. Les arbres sombres ont fusionné avec leurs reflets pour devenir une forme unique et presque abstraite. La surface de l'eau n'existe plus, le monde réel et celui des reflets se fondant l'un dans l'autre. Ces deux oeuvres annoncent particulièrement la série des Matinées sur la Seine des étés 1896 et 1937 (cf. N Goldman).
Merci à Michelangelo pour la photo :
www.flickr.com/photos/47934977@N03/12629564984/in/photost...
La Seine à Port-Villez, effet du soir (C Monet - W 1379)
Huile sur toile, 52 x 92 cm, 1894 (W 1379), musée Marmottan, Paris.
Dans les deux tableaux La Seine à Port-Villez, effet du soir (W 1379) et La Seine à Port-Villez, effet rose (W 1380), C Monet accorde la même importance aux reflets qu'au réél. Le fleuve immobile devient un véritable miroir qui reflète le ciel. L'eau s'y confond dans une harmonie dorée presque monochrome. Les arbres sombres ont fusionné avec leurs reflets pour devenir une forme unique et presque abstraite. La surface de l'eau n'existe plus, le monde réel et celui des reflets se fondant l'un dans l'autre. Ces deux oeuvres annoncent particulièrement la série des Matinées sur la Seine des étés 1896 et 1937 (cf. N Goldman).
Merci à Michelangelo pour la photo :
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