Petit rhinanthe (Rhinanthus minor)
Orobanchacée (ex-Scrophulariacée) thérophyte estival hémiparasite, de 15-50 cm, aux tiges effilées et aux feuilles opposées et dentées, souvent confondue avec le Rhinanthe à crête de coq ou Cocriste (R. alectorolophus*). Bractées vert sombre (vert clair pour *) à dents triangulaires, les inférieures au maximum 3 fois aussi longues que larges (plus de 3 fois pour *).
Calice glabre sur les faces (jaunâtre et velu pour *). Corolle jaune pâle de 12-15 mm à tube droit et gorge légèrement ouverte (15-25 mm, à tube courbé dans la partie supérieure et à gorge fermée par la lèvre inférieure pour *). Lobes du casque (lèvre supérieure) de 1 mm au maximum (2 mm pour *). Graines moins de 2 fois plus larges que leur aile (3 fois plus larges pour *).
Espèce mésophile en régression (tout comme *) des prairies de fauche ou Arrhénathéraies qui se maintient essentiellement aujourd'hui dans des milieux de substitution. Le nom de genre vient du grec rhinos : nez et anthos : fleur, par allusion à la forme allongée de la partie supérieure de la fleur (cf. H des Abbayes, F Couplan, Guide des groupements végétaux de la région parisienne et P Jauzein).
Petit rhinanthe (Rhinanthus minor)
Orobanchacée (ex-Scrophulariacée) thérophyte estival hémiparasite, de 15-50 cm, aux tiges effilées et aux feuilles opposées et dentées, souvent confondue avec le Rhinanthe à crête de coq ou Cocriste (R. alectorolophus*). Bractées vert sombre (vert clair pour *) à dents triangulaires, les inférieures au maximum 3 fois aussi longues que larges (plus de 3 fois pour *).
Calice glabre sur les faces (jaunâtre et velu pour *). Corolle jaune pâle de 12-15 mm à tube droit et gorge légèrement ouverte (15-25 mm, à tube courbé dans la partie supérieure et à gorge fermée par la lèvre inférieure pour *). Lobes du casque (lèvre supérieure) de 1 mm au maximum (2 mm pour *). Graines moins de 2 fois plus larges que leur aile (3 fois plus larges pour *).
Espèce mésophile en régression (tout comme *) des prairies de fauche ou Arrhénathéraies qui se maintient essentiellement aujourd'hui dans des milieux de substitution. Le nom de genre vient du grec rhinos : nez et anthos : fleur, par allusion à la forme allongée de la partie supérieure de la fleur (cf. H des Abbayes, F Couplan, Guide des groupements végétaux de la région parisienne et P Jauzein).