Le Pont Boieldieu à Rouen, soleil couchant (C Pissarro - PDRS 1117)
Huile sur toile, 74 x 92 cm, 1896 (PDRS 1117), Museum and Art Gallery, Birmingham.
Plutôt connu comme représentant de "l'impressionnisme rural", C Pissarro n'en est pas moins le peintre de Rouen par le nombre et l'importance de ses oeuvres (69 huiles sur toile, 54 pour C Monet dont 32 pour la série des Cathédrales en 1892-93).
Il va même, durant les dix dernières années de sa vie, se concentrer sur les vues urbaines de trois ports normands : Rouen (69), Dieppe (30) et Le Havre (24), soit environ 120 peintures, se hissant en définitive au rang du plus urbain des peintres impressionnistes avec à peu près 300 tableaux, si l'on ajoute ceux composés à Londres (44) et surtout à Paris (143 !).
Les deuxième et troisième campagnes de C Pissarro à Rouen en 1896 (janv.- mars et sept.-nov.) voient l'élaboration de "séries". A cause de graves problèmes oculaires, l'artiste est en effet obligé de peindre depuis sa chambre d'hôtel (51 quai de Paris lors de son 2ème séjour, 7-8 cours Boieldieu pour le 3ème, entre les ponts Boieldieu et Corneille). Le temps n'étant pas toujours au beau fixe, C Pissarro y compose à certains moments plus de 10 tableaux à la fois (cf. C Durand-Ruel Snollaerts).
Le Pont Boieldieu à Rouen, soleil couchant (C Pissarro - PDRS 1117)
Huile sur toile, 74 x 92 cm, 1896 (PDRS 1117), Museum and Art Gallery, Birmingham.
Plutôt connu comme représentant de "l'impressionnisme rural", C Pissarro n'en est pas moins le peintre de Rouen par le nombre et l'importance de ses oeuvres (69 huiles sur toile, 54 pour C Monet dont 32 pour la série des Cathédrales en 1892-93).
Il va même, durant les dix dernières années de sa vie, se concentrer sur les vues urbaines de trois ports normands : Rouen (69), Dieppe (30) et Le Havre (24), soit environ 120 peintures, se hissant en définitive au rang du plus urbain des peintres impressionnistes avec à peu près 300 tableaux, si l'on ajoute ceux composés à Londres (44) et surtout à Paris (143 !).
Les deuxième et troisième campagnes de C Pissarro à Rouen en 1896 (janv.- mars et sept.-nov.) voient l'élaboration de "séries". A cause de graves problèmes oculaires, l'artiste est en effet obligé de peindre depuis sa chambre d'hôtel (51 quai de Paris lors de son 2ème séjour, 7-8 cours Boieldieu pour le 3ème, entre les ponts Boieldieu et Corneille). Le temps n'étant pas toujours au beau fixe, C Pissarro y compose à certains moments plus de 10 tableaux à la fois (cf. C Durand-Ruel Snollaerts).