BBMirabelles
Art de Rue
La compagnie TRANSE EXPRESS
Tambours de la Muerte.
Les Tambours de la Muerte de la compagnie Transe Express. Catrina, version plantureuse et mexicaine de l'Ankou breton, fait son entrée dans l'atmosphère rougeoyante des Enfers escortées par deux squelettes géants, tels deux mafiosi moqueurs, le cigare à la bouche, surplombant la masse et jouant avec le public dont les réactions hésitent entre terreur et joie.
Au son des tambours tapageurs, la belle et dangereuse faucheuse part en quête de son cavalier parmi la foule. Mais pour danser le tango "de la muerte" aux bras de Catrina, il faut être irréprochable. Les victimes se succèdent joyeusement mais, ne parvenant jamais à la hauteur des exigences de Madame la Mort, finissent toutes par se faire rejeter dans le commun des mortels. La parade se poursuit dans la rue principale, jusqu'à ce qu'arrive la collision artistique : quand les Tambours de la Muerte de la compagnie Transe Expess percutent les cuivres d'Ulik et le Snob... Joyeuse célébration mortuaire ! Un moment d'échange musical loufoque avant de disparaître en glissant pour Ulik et le Snob, et de se diriger vers la place du Champs de foire pour Transe Express.
Le public est rassemblé, installé, impatient... que démarre le funèbre mais festif final de cette soirée ! Sur scène, les squelettes-tambourineurs de l'au-delà sortent de leurs cercueils et entament leur concert rock-macabre. Catrina scrute le public jusqu'à ce que ses yeux se posent sur celui qu'elle invitera à passer de "l'autre côté". Mais avant d'autoriser son passage, la victime doit faire ses preuves : passer à travers les flammes de la faux de Catrina, tambouriner en rythme sans être déconcentré par les moqueries des musiciens trépassés, faire fi de son vertige en voltigeant couragement sur le mât chinois et diriger l'orchestre de la mort pour le bouquet final : feux d'artifice, tambours-têtes-de-morts crachant du feu, guitares électriques et exclamations du public...
Source : Le Fourneau, Centre National des Arts de la Rue.
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La compagnie TRANSE EXPRESS
Tambours de la Muerte.
Les Tambours de la Muerte de la compagnie Transe Express. Catrina, version plantureuse et mexicaine de l'Ankou breton, fait son entrée dans l'atmosphère rougeoyante des Enfers escortées par deux squelettes géants, tels deux mafiosi moqueurs, le cigare à la bouche, surplombant la masse et jouant avec le public dont les réactions hésitent entre terreur et joie.
Au son des tambours tapageurs, la belle et dangereuse faucheuse part en quête de son cavalier parmi la foule. Mais pour danser le tango "de la muerte" aux bras de Catrina, il faut être irréprochable. Les victimes se succèdent joyeusement mais, ne parvenant jamais à la hauteur des exigences de Madame la Mort, finissent toutes par se faire rejeter dans le commun des mortels. La parade se poursuit dans la rue principale, jusqu'à ce qu'arrive la collision artistique : quand les Tambours de la Muerte de la compagnie Transe Expess percutent les cuivres d'Ulik et le Snob... Joyeuse célébration mortuaire ! Un moment d'échange musical loufoque avant de disparaître en glissant pour Ulik et le Snob, et de se diriger vers la place du Champs de foire pour Transe Express.
Le public est rassemblé, installé, impatient... que démarre le funèbre mais festif final de cette soirée ! Sur scène, les squelettes-tambourineurs de l'au-delà sortent de leurs cercueils et entament leur concert rock-macabre. Catrina scrute le public jusqu'à ce que ses yeux se posent sur celui qu'elle invitera à passer de "l'autre côté". Mais avant d'autoriser son passage, la victime doit faire ses preuves : passer à travers les flammes de la faux de Catrina, tambouriner en rythme sans être déconcentré par les moqueries des musiciens trépassés, faire fi de son vertige en voltigeant couragement sur le mât chinois et diriger l'orchestre de la mort pour le bouquet final : feux d'artifice, tambours-têtes-de-morts crachant du feu, guitares électriques et exclamations du public...
Source : Le Fourneau, Centre National des Arts de la Rue.