sophie lampole
Au château de Seneffe
… il se passe de bien belles choses ...
Une visite dans les charmes, les subtilités et les intrigues élitistes et raffinées de la bourgeoisie d’un siècle passé m’a enchantée…
Armés de patins, sans prendre de photo compromettante de nos pieds et sans abîmer la marqueterie compliquée et précieuse des planchers, Telemaque et moi, par un dimanche de novembre froid et au teint gris nous avons croisé la chemise d’une belle flottant éthérée et délicate dans les airs, le boudoir d’une courtisane, une salle de bains où la toilette était synonyme de rebellion et de péché, une table dressée pour un repas aux prémices volages, le cabinet des curiosités et en final merveilleux, l’âme de Sissi mise en scène de façon grandiose…
Avant de terminer devant un chocolat chaud façon 18ème siècle servi en costume d’époque et accompagné d’un gâteau à la lavande…
Un beau dimanche qui nous a délicatement et sournoisement entraînés dans une nostalgie loin du placo-plâtre, des meubles Ikéa et de la réalité toute aussi fascinante des rues de notre quotidien lillois et bruxellois
Au château de Seneffe
… il se passe de bien belles choses ...
Une visite dans les charmes, les subtilités et les intrigues élitistes et raffinées de la bourgeoisie d’un siècle passé m’a enchantée…
Armés de patins, sans prendre de photo compromettante de nos pieds et sans abîmer la marqueterie compliquée et précieuse des planchers, Telemaque et moi, par un dimanche de novembre froid et au teint gris nous avons croisé la chemise d’une belle flottant éthérée et délicate dans les airs, le boudoir d’une courtisane, une salle de bains où la toilette était synonyme de rebellion et de péché, une table dressée pour un repas aux prémices volages, le cabinet des curiosités et en final merveilleux, l’âme de Sissi mise en scène de façon grandiose…
Avant de terminer devant un chocolat chaud façon 18ème siècle servi en costume d’époque et accompagné d’un gâteau à la lavande…
Un beau dimanche qui nous a délicatement et sournoisement entraînés dans une nostalgie loin du placo-plâtre, des meubles Ikéa et de la réalité toute aussi fascinante des rues de notre quotidien lillois et bruxellois