Sur un arbre perché / Looking from the perch
Grand Cormoran / Great Cormorant
Arboretum de Versailles-Chèvreloup (78)
Le cormoran semblait longuement observer le ciel (rêve de départ en vacances ?)
Je confirme à l’occasion mon aptitude beaucoup trop limitée en photo animalière…
Le grain est médiocre (ça, c’est le 1250 ISO) et le piqué approximatif (ça, c’est la limite technique d’un zoom “low-cost”, en bout de course à 300 mm, la prise à main levée, sans monopode ni trépied, et le capteur un peu désuet du D700)
Mais, heureusement, et si la compo n’est pas originale, elle reste “propre” ce qui est le minimum vital photographique… (Mais si, regardez un peu moins les compos ratées ou pseudo-intellos de Flickr et essayez un jour !)
Et surtout, l’éclairage rasant de fin d’après-midi tangente bien le globe oculaire et met ainsi en valeur le beau vert bouteille de l’œil de la bête…
Pas si facile…
Une dizaine de prises avant de pouvoir capter cette position angulaire de la tête du volatile…
Cela se jouait à chaque fois à quelques degrés près…
Pas assez d’inclinaison, l’œil était dans l’ombre (et ne regardait pas Caïn) Trop d’inclinaison, et l’œil était en plein soleil et ne brillait pas…
Donc photo postée ici pour cette unique et dernière raison : La rare patience du photographe plus animal qu’animalier.
Sur un arbre perché / Looking from the perch
Grand Cormoran / Great Cormorant
Arboretum de Versailles-Chèvreloup (78)
Le cormoran semblait longuement observer le ciel (rêve de départ en vacances ?)
Je confirme à l’occasion mon aptitude beaucoup trop limitée en photo animalière…
Le grain est médiocre (ça, c’est le 1250 ISO) et le piqué approximatif (ça, c’est la limite technique d’un zoom “low-cost”, en bout de course à 300 mm, la prise à main levée, sans monopode ni trépied, et le capteur un peu désuet du D700)
Mais, heureusement, et si la compo n’est pas originale, elle reste “propre” ce qui est le minimum vital photographique… (Mais si, regardez un peu moins les compos ratées ou pseudo-intellos de Flickr et essayez un jour !)
Et surtout, l’éclairage rasant de fin d’après-midi tangente bien le globe oculaire et met ainsi en valeur le beau vert bouteille de l’œil de la bête…
Pas si facile…
Une dizaine de prises avant de pouvoir capter cette position angulaire de la tête du volatile…
Cela se jouait à chaque fois à quelques degrés près…
Pas assez d’inclinaison, l’œil était dans l’ombre (et ne regardait pas Caïn) Trop d’inclinaison, et l’œil était en plein soleil et ne brillait pas…
Donc photo postée ici pour cette unique et dernière raison : La rare patience du photographe plus animal qu’animalier.