Faut pas plisser partout !
Vénus de Milo
Musée du Louvre / Paris
Petit délire du jour, sur-contrasté et avec un gros grain de l’enfer…
Deux trucs illusoires et malheureusement à la mode mais pas trop dans ma philosophie de la bonne image “bio, naturelle, et non traitée”
Je traverse une phase volontariste de grand n’importe quoi photographique (on peut appeler ça une phase de tests)
Sortir des sentiers battus et de l’académisme photographique de temps en temps fait beaucoup de bien, mais avec modération et sans trop sombrer dans la photo intello (i.e. ratée à la fois en technique comme en compo, volontairement ou accidentellement, mais qui met en transe le grand public bobo du seizième arrondissement et multiplie de manière déraisonnable les favoris sur Flickr) et toujours en se promettant de revenir rapidement aux bons principes de la vraie bonne photo (bien composée, bien exposée, jamais déclenchée au hasard, pas sur-traitée artificiellement Photoshop et, si possible, racontant une histoire)
Ici donc, une photo plus instinctive que construite, avec mon vieux compact exceptionnellement ressorti du placard et de la poche de la veste pour lui dérouiller l’obturateur…
L’occasion rêvée de fixer le face à face inattendu de ces deux beaux drapés grecs…
Nota : Je ne me souvenais plus qu’à f2.8 et 800 ISO le petit Canon G15 avait autant de grain… C’est à la limite du hors-jeu !
Faut pas plisser partout !
Vénus de Milo
Musée du Louvre / Paris
Petit délire du jour, sur-contrasté et avec un gros grain de l’enfer…
Deux trucs illusoires et malheureusement à la mode mais pas trop dans ma philosophie de la bonne image “bio, naturelle, et non traitée”
Je traverse une phase volontariste de grand n’importe quoi photographique (on peut appeler ça une phase de tests)
Sortir des sentiers battus et de l’académisme photographique de temps en temps fait beaucoup de bien, mais avec modération et sans trop sombrer dans la photo intello (i.e. ratée à la fois en technique comme en compo, volontairement ou accidentellement, mais qui met en transe le grand public bobo du seizième arrondissement et multiplie de manière déraisonnable les favoris sur Flickr) et toujours en se promettant de revenir rapidement aux bons principes de la vraie bonne photo (bien composée, bien exposée, jamais déclenchée au hasard, pas sur-traitée artificiellement Photoshop et, si possible, racontant une histoire)
Ici donc, une photo plus instinctive que construite, avec mon vieux compact exceptionnellement ressorti du placard et de la poche de la veste pour lui dérouiller l’obturateur…
L’occasion rêvée de fixer le face à face inattendu de ces deux beaux drapés grecs…
Nota : Je ne me souvenais plus qu’à f2.8 et 800 ISO le petit Canon G15 avait autant de grain… C’est à la limite du hors-jeu !