Comme une estampe japonaise / Like a Japanese print
Cormoran / Cormorant
Arboretum de Versailles-Chèvreloup
Petite fantaisie distractive et sans prétention !
Le grain n’est pas accentué au post-traitement, mais seulement la conséquence irrémédiable d’un agrandissement un peu trop fort, limité à un tiers de l’image, pour travailler proprement la compo dans le style “estampe”
Le 300mm, même avec un petit capteur, donc 450mm en réalité, est souvent insuffisant pour de l’animalier sauvage (hors canards des étangs)
Et le recadrage tue trop le piqué… (même si beaucoup de gens ne voient pas le flou, si on en croit certaines photos ratées, et pourtant largement plébiscitées sur Flickr)
La photo animalière ne supporte pas la médiocrité, et mon rêve pour ce genre d’images est de disposer d’un long télé à très grande ouverture
Hélas, le 200-500 f2.8 de chez Sigma affiche le prix pharaonique de 30000 euros… Et même le 500mm f.4 focale fixe de Nikon émarge déjà à plus de 10000…
Donc très loin de mon (plutôt correct) 300mm f.4 acheté d’occase il y a quelques années, mais déjà à presque 1000 euros…
On comprend alors mieux les chasseurs, car un bon fusil avec quelques cartouches, ça coûte beaucoup moins cher que la photo, pour “entrer en contact intime avec la nature” ! (Dixit les chasseurs) 😛
On peut alors ramener la bête à la maison pour la photographier avec son smartphone, posée sur la table du salon…. Et plus besoin de vitesse d’obturation rapide ou de grande ouverture, car le modèle bouge peu !
(Nota pour les habituels étanches à la plaisanterie : C’est de l’humour ! 😊)
Conclusion : Ce sera donc la dernière image de ma série ornithologique automnale…
Il est grand temps de redescendre à nouveau sur terre, vers des focales plus légères et plus raisonnables (en dessous de 105), de laisser les animaux tranquilles pour quelque temps, et de passer à autre chose de plus photographiquement confortable…
Comme une estampe japonaise / Like a Japanese print
Cormoran / Cormorant
Arboretum de Versailles-Chèvreloup
Petite fantaisie distractive et sans prétention !
Le grain n’est pas accentué au post-traitement, mais seulement la conséquence irrémédiable d’un agrandissement un peu trop fort, limité à un tiers de l’image, pour travailler proprement la compo dans le style “estampe”
Le 300mm, même avec un petit capteur, donc 450mm en réalité, est souvent insuffisant pour de l’animalier sauvage (hors canards des étangs)
Et le recadrage tue trop le piqué… (même si beaucoup de gens ne voient pas le flou, si on en croit certaines photos ratées, et pourtant largement plébiscitées sur Flickr)
La photo animalière ne supporte pas la médiocrité, et mon rêve pour ce genre d’images est de disposer d’un long télé à très grande ouverture
Hélas, le 200-500 f2.8 de chez Sigma affiche le prix pharaonique de 30000 euros… Et même le 500mm f.4 focale fixe de Nikon émarge déjà à plus de 10000…
Donc très loin de mon (plutôt correct) 300mm f.4 acheté d’occase il y a quelques années, mais déjà à presque 1000 euros…
On comprend alors mieux les chasseurs, car un bon fusil avec quelques cartouches, ça coûte beaucoup moins cher que la photo, pour “entrer en contact intime avec la nature” ! (Dixit les chasseurs) 😛
On peut alors ramener la bête à la maison pour la photographier avec son smartphone, posée sur la table du salon…. Et plus besoin de vitesse d’obturation rapide ou de grande ouverture, car le modèle bouge peu !
(Nota pour les habituels étanches à la plaisanterie : C’est de l’humour ! 😊)
Conclusion : Ce sera donc la dernière image de ma série ornithologique automnale…
Il est grand temps de redescendre à nouveau sur terre, vers des focales plus légères et plus raisonnables (en dessous de 105), de laisser les animaux tranquilles pour quelque temps, et de passer à autre chose de plus photographiquement confortable…