Paris, France, 56 rue Jacob: en 1830, c'était la maison du libraire-éditeur Firmin Didot et frères et en 1783 y fut signé le traité de paix (de Paris) qui reconnaissait l'indépendance des Etats Unis. Aujourd'hui cet immeuble fait partie de SciencesPo
Firmin Didot (né le 14 avril 1764 à Paris ; † 24 avril 1836 à Mesnil-sur-l'Estrée) est le membre le plus célèbre d'une dynastie d’imprimeurs, éditeurs et typographes français, la famille Didot, qui commence au début du xviiie siècle et se poursuit de nos jours.
Il est le deuxième fils de François-Ambroise Didot. Il travailla, de concert avec son frère Pierre Didot, à perfectionner son art, se distingua surtout comme graveur et fondeur, et fit, le premier, des éditions stéréotypes en 1797.
Parmi les éditions des deux frères, on distingue : le Camoêns, en portugais, 1817; la Henriade, 1819, in-4, et les Tables de logarithmes de Callet, dont la correction est devenue irréprochable.
Firmin Didot cultivait les lettres : on lui doit de bonnes traductions en vers des Bucoliques de Virgile, 1806, des Idylles de Théocrite, 1833, et une tragédie d'Annibal. Elu député en 1827, il défendit les intérêts de la librairie et de la presse. Il était en faveur d'une réforme substantielle de l'orthographe et exposa ses idées à ce sujet dans son essai Observation sur l'orthographe française ou ortografie française.
Le nom d'une des deux unités typographiques (ou point typographique), porte son nom, le point Didot. (Wikipedia)
Paris, France, 56 rue Jacob: en 1830, c'était la maison du libraire-éditeur Firmin Didot et frères et en 1783 y fut signé le traité de paix (de Paris) qui reconnaissait l'indépendance des Etats Unis. Aujourd'hui cet immeuble fait partie de SciencesPo
Firmin Didot (né le 14 avril 1764 à Paris ; † 24 avril 1836 à Mesnil-sur-l'Estrée) est le membre le plus célèbre d'une dynastie d’imprimeurs, éditeurs et typographes français, la famille Didot, qui commence au début du xviiie siècle et se poursuit de nos jours.
Il est le deuxième fils de François-Ambroise Didot. Il travailla, de concert avec son frère Pierre Didot, à perfectionner son art, se distingua surtout comme graveur et fondeur, et fit, le premier, des éditions stéréotypes en 1797.
Parmi les éditions des deux frères, on distingue : le Camoêns, en portugais, 1817; la Henriade, 1819, in-4, et les Tables de logarithmes de Callet, dont la correction est devenue irréprochable.
Firmin Didot cultivait les lettres : on lui doit de bonnes traductions en vers des Bucoliques de Virgile, 1806, des Idylles de Théocrite, 1833, et une tragédie d'Annibal. Elu député en 1827, il défendit les intérêts de la librairie et de la presse. Il était en faveur d'une réforme substantielle de l'orthographe et exposa ses idées à ce sujet dans son essai Observation sur l'orthographe française ou ortografie française.
Le nom d'une des deux unités typographiques (ou point typographique), porte son nom, le point Didot. (Wikipedia)