Walk, Dogs & Shadows – Copacabana Mosaic
🇬🇧 From above, geometry and life intersect.
A man, two dogs, and a sea of patterned stones. The shadows stretch like dancers rehearsing on a giant tiled stage.
Captured years ago on the iconic mosaic promenade of Copacabana, this scene reminds me how simple gestures can shape graphic poetry in the city.
🔗 This photograph is part of the ongoing album Still Streets, Silent Loads – Brazil’s Urban Weights, exploring the invisible weights embedded in urban life across Brazil. → www.flickr.com/photos/201798544@N06/albums/72177720327200016
Cette image fait partie de l’album en cours Still Streets, Silent Loads – Brazil’s Urban Weights, une série sur les poids invisibles qui hantent l’espace urbain brésilien.
🇫🇷 Vu d’en haut, la géométrie rejoint la vie.
Un homme, deux chiens, et une mer de pavés dessinés. Les ombres s’allongent comme des danseurs sur une scène en mosaïque.
Photographiée il y a plusieurs années sur la célèbre promenade de Copacabana, cette scène me rappelle à quel point les gestes simples peuvent devenir une poésie graphique urbaine.
Walk, Dogs & Shadows – Copacabana Mosaic
🇬🇧 From above, geometry and life intersect.
A man, two dogs, and a sea of patterned stones. The shadows stretch like dancers rehearsing on a giant tiled stage.
Captured years ago on the iconic mosaic promenade of Copacabana, this scene reminds me how simple gestures can shape graphic poetry in the city.
🔗 This photograph is part of the ongoing album Still Streets, Silent Loads – Brazil’s Urban Weights, exploring the invisible weights embedded in urban life across Brazil. → www.flickr.com/photos/201798544@N06/albums/72177720327200016
Cette image fait partie de l’album en cours Still Streets, Silent Loads – Brazil’s Urban Weights, une série sur les poids invisibles qui hantent l’espace urbain brésilien.
🇫🇷 Vu d’en haut, la géométrie rejoint la vie.
Un homme, deux chiens, et une mer de pavés dessinés. Les ombres s’allongent comme des danseurs sur une scène en mosaïque.
Photographiée il y a plusieurs années sur la célèbre promenade de Copacabana, cette scène me rappelle à quel point les gestes simples peuvent devenir une poésie graphique urbaine.