Facing What Could Hurt the Most
Ces instants… doux, presque tendres. Mais qui brûlent.
Ils réveillent ce qu’on croyait mort.
Ils font du bien… mais dérangent jusque dans la chair.
Quelque chose s’ouvre en nous.
Et ce n’est pas la lumière qui entre.
C’est le vertige.
On ne sait plus si c’est du désir, du trouble ou du manque.
On sait juste que ça bouleverse tout.
Notre regard s’éteint.
Un soi qu’on ne reconnaît plus.
C’est beau.
C’est trop.
Et à l’intérieur, tout se fissure.
---
These moments… soft, almost tender. But they burn.
They awaken what we thought was dead.
They feel good… but disturb deep into the flesh.
Something opens within us.
And it’s not light that enters.
It’s the vertigo.
We no longer know if it’s desire, confusion, or longing.
We only know that it shakes everything.
Our gaze fades.
A self we no longer recognize.
It’s beautiful.
It’s too much.
And inside, everything cracks.
youtu.be/bUerI5OFf7k?si=7DJq6kiahvNDGDJo
Facing What Could Hurt the Most
Ces instants… doux, presque tendres. Mais qui brûlent.
Ils réveillent ce qu’on croyait mort.
Ils font du bien… mais dérangent jusque dans la chair.
Quelque chose s’ouvre en nous.
Et ce n’est pas la lumière qui entre.
C’est le vertige.
On ne sait plus si c’est du désir, du trouble ou du manque.
On sait juste que ça bouleverse tout.
Notre regard s’éteint.
Un soi qu’on ne reconnaît plus.
C’est beau.
C’est trop.
Et à l’intérieur, tout se fissure.
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These moments… soft, almost tender. But they burn.
They awaken what we thought was dead.
They feel good… but disturb deep into the flesh.
Something opens within us.
And it’s not light that enters.
It’s the vertigo.
We no longer know if it’s desire, confusion, or longing.
We only know that it shakes everything.
Our gaze fades.
A self we no longer recognize.
It’s beautiful.
It’s too much.
And inside, everything cracks.
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