Le Jour ni l’Heure 5283 : autoportrait à soixante-dix-huit ans, trois mois et douze jours, Plieux, miroir de la bibliothèque, vendredi 22 novembre 2024, 23:40:39
Vendredi 22 novembre 2024. Semaine 47, Sainte Cécile — 327/39. Plieux. Réveillé vers six heures, insomnie. Levé avec Pierre à sept heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Jean-Michel Basquiat, 1960-1988, Charles the First, 1982, dét., Paris, exposition Basquiat à la Fondation Vuitton, dimanche 14 octobre 2018. Charniers, je connais tous vos noms putréfiés dans les abysses du Nom (Jabès). X, assez longuement. Comptes : Dernière connexion le 21/11/2024 à 11h11 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs Solde débiteur-173,51 € /// Crédits Solde débiteur-15.172,59 € /// Solde au 21 novembre 2024 -212,51 € /// À venir -1 768,29 € | Prévisionnel -1 980,80 € /// Débiteur depuis 10 jours /// Aucun mouvement. 12:54:05 /////// Le Jour ni l’Heure : Castres, Tarn, palais épiscopal, 1666-1673, Jules Hardouin-Mansart, 1646-1708, mercredi 20 avril 2016 ; Vicente Lopez y Portana, 1772-1850, Les Enfants du comte de Casa Florez, c. 1828, dét., le fils aîné, José Florez y Guttierez de Teran, futur ambassadeur au Danemark, Castres, musée Goya, mercredi 20 avril 2016 ; Francisco de Goya y Lucientes, 1746-1828, La Junte des Philippines, 1815 (le plus beau tableau du monde ?), Castres, Tarn, musée Goya, mercredi 20 avril 2016. 50. 50. 12. 12. 100. 25. 25. 25. 25. Sir Arnold Bax, Into the Twilight, 1908. Été à Agen pour y chercher Quentin Verwaerde à la gare. Obstacles divers en chemin, route de Castet-Arrouy à Sainte-Mère coupée, dû passer par Rouillac ; manifestation paysanne à l’entrée d’Agen, tracteurs et autres machines agricoles qui ralentissent la circulation. Arrivé néanmoins à l’heure et même dû faire trois allées et retours devant la gare pour cueillir le voyageur. Constaté à cette occasion que dans cette partie de la ville le Grand Remplacement était désormais total. Peuple a-t-il connu et subi dans l’histoire folie pareille ? Passé avec QV au magasin Artempo pour y porte deux tableaux et pour y prendre deux autres, le petit Tombeau I et le grand Les Onze très lourdement encadré (en fait ce sont deux cadres emboîtés), mais l’ingénieux M. Curiace a calculé au centimètre près la possibilité de faire entrer l’objet dans ma voiture, de biais, en rabattant les sièges arrière et à condition de ne pas l’emballer. Il faut néanmoins tant avancer les sièges avant que V et moi arrivons à peine à nous y glisser et devrons voyager tout recroquevillés, dans l’amitié de nos genoux, comme il dit le Poète. Passons néanmoins à l’Intermarché géant pour des courses de gyozas et autres, les accès sont bouchés par des accumulations de pneumatiques et de fumier, il faut entrer et sortir par un couloir de service et il n’y a presque personne, impressionnant (une immensité commerciale déserte, un amoncellement sans issue, le cauchemar de la davocratie, qui préfère mille fois l’inverse (milliards de consommateurs et rien à consommer). Arrivés à Plieux un peu avant sept heures. Journal, mis un texte de Roman d’Amat envoyé par Gérard Lapacherie (Paris en 1910). Dîné à trois, abondance de gyozas aux crevettes et aux légumes, petits légumes, poire à la vapeur et chocolats lillois de la maison Méert apportés par l’homme de Lhomme, « pâtisserie fondée en 1677 ». Revu très longuement le Napoléon d’Abel Gance, 1927, donné en version intégrale (sept heures), tenu seul jusqu’à la fin du très long et très beau épisode corse, dont je n’avais à peu près aucune idée historique (Paoli et les Pozzo di Borgo contre les Bonaparte). Travaillé la correction additive de La Destruction des Européens d’Europe, exercice toujours très facile et très plaisant quand on est fatigué. Couché à une heure et demie.
Le Jour ni l’Heure 5283 : autoportrait à soixante-dix-huit ans, trois mois et douze jours, Plieux, miroir de la bibliothèque, vendredi 22 novembre 2024, 23:40:39
Vendredi 22 novembre 2024. Semaine 47, Sainte Cécile — 327/39. Plieux. Réveillé vers six heures, insomnie. Levé avec Pierre à sept heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Jean-Michel Basquiat, 1960-1988, Charles the First, 1982, dét., Paris, exposition Basquiat à la Fondation Vuitton, dimanche 14 octobre 2018. Charniers, je connais tous vos noms putréfiés dans les abysses du Nom (Jabès). X, assez longuement. Comptes : Dernière connexion le 21/11/2024 à 11h11 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs Solde débiteur-173,51 € /// Crédits Solde débiteur-15.172,59 € /// Solde au 21 novembre 2024 -212,51 € /// À venir -1 768,29 € | Prévisionnel -1 980,80 € /// Débiteur depuis 10 jours /// Aucun mouvement. 12:54:05 /////// Le Jour ni l’Heure : Castres, Tarn, palais épiscopal, 1666-1673, Jules Hardouin-Mansart, 1646-1708, mercredi 20 avril 2016 ; Vicente Lopez y Portana, 1772-1850, Les Enfants du comte de Casa Florez, c. 1828, dét., le fils aîné, José Florez y Guttierez de Teran, futur ambassadeur au Danemark, Castres, musée Goya, mercredi 20 avril 2016 ; Francisco de Goya y Lucientes, 1746-1828, La Junte des Philippines, 1815 (le plus beau tableau du monde ?), Castres, Tarn, musée Goya, mercredi 20 avril 2016. 50. 50. 12. 12. 100. 25. 25. 25. 25. Sir Arnold Bax, Into the Twilight, 1908. Été à Agen pour y chercher Quentin Verwaerde à la gare. Obstacles divers en chemin, route de Castet-Arrouy à Sainte-Mère coupée, dû passer par Rouillac ; manifestation paysanne à l’entrée d’Agen, tracteurs et autres machines agricoles qui ralentissent la circulation. Arrivé néanmoins à l’heure et même dû faire trois allées et retours devant la gare pour cueillir le voyageur. Constaté à cette occasion que dans cette partie de la ville le Grand Remplacement était désormais total. Peuple a-t-il connu et subi dans l’histoire folie pareille ? Passé avec QV au magasin Artempo pour y porte deux tableaux et pour y prendre deux autres, le petit Tombeau I et le grand Les Onze très lourdement encadré (en fait ce sont deux cadres emboîtés), mais l’ingénieux M. Curiace a calculé au centimètre près la possibilité de faire entrer l’objet dans ma voiture, de biais, en rabattant les sièges arrière et à condition de ne pas l’emballer. Il faut néanmoins tant avancer les sièges avant que V et moi arrivons à peine à nous y glisser et devrons voyager tout recroquevillés, dans l’amitié de nos genoux, comme il dit le Poète. Passons néanmoins à l’Intermarché géant pour des courses de gyozas et autres, les accès sont bouchés par des accumulations de pneumatiques et de fumier, il faut entrer et sortir par un couloir de service et il n’y a presque personne, impressionnant (une immensité commerciale déserte, un amoncellement sans issue, le cauchemar de la davocratie, qui préfère mille fois l’inverse (milliards de consommateurs et rien à consommer). Arrivés à Plieux un peu avant sept heures. Journal, mis un texte de Roman d’Amat envoyé par Gérard Lapacherie (Paris en 1910). Dîné à trois, abondance de gyozas aux crevettes et aux légumes, petits légumes, poire à la vapeur et chocolats lillois de la maison Méert apportés par l’homme de Lhomme, « pâtisserie fondée en 1677 ». Revu très longuement le Napoléon d’Abel Gance, 1927, donné en version intégrale (sept heures), tenu seul jusqu’à la fin du très long et très beau épisode corse, dont je n’avais à peu près aucune idée historique (Paoli et les Pozzo di Borgo contre les Bonaparte). Travaillé la correction additive de La Destruction des Européens d’Europe, exercice toujours très facile et très plaisant quand on est fatigué. Couché à une heure et demie.