Le Jour ni l’Heure : autoportrait au cœur des ténèbres, Plieux, bibliothèque, mercredi 15 juillet 2015, 25:30:26
Mercredi 15 juillet 2015. Saint Donald — 196/169. Plieux. Levés à 7 h 20. Très joli temps clair. Été avec Pierre à Lectoure, laboratoire d’analyse, pour y pissser dans un flacon, après troisième traitement. De retour vers 8 h & ½. Céline rediviva. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et escalier du matin même, avec les échafaudages, belle lumière. Carton pour les imprimeries Meyer. Tel. du sous-préfet H., invitation à dîner pour dimanche soir, mais ne mentionne pas P. Comptes : - 680,60 / vir. M. Fabrice de S., + 1000 / vir. PayPal, + 300,00 / “À venir”, - 433,20 . “Débiteur depuis 15 jours”. Agenda. 11 :15 /// Le Jour ni l’Heure, Agenda et autoportrait de la nuit, fenêtre de l’escalier le matin même, maison à Laréole, château de Laréole, L’Aube à Arquier de Marc Saint-Saëns. L’IN-NOCENT, intensément. Le Jour ni l’Heure, château en travaux le matin même, traitement pictorialiste intense d’un instantané du matin avec Pierre et Céline, La Conversation. Bain. Chronologie, cinq jours de juin 1970. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Un des ouvriers du chantier, le joli blond à moustache (mais il s’est rasé le crâne depuis la veille, paraît-il), à un accident sur l’échafaudage, s’ouvre sérieusement le genou, doit être transporté à l’hôpital. Un communiqué pour le parti (à propos d’autre chose). Un carton pour le NON. Atelier, fini la couverte 60x60 n° 73, Autoportrait VIII. Tenté par une révision du Paysage avec un château d’eau, mais y renonce. Repris la couverte éternelle. Dîné aux nouvelles. Regardé un peu de L’Auberge espagnole, mais c’est vraiment irregardable. Promenade au carrefour de La Rouquette. Rencontré la jeune femme de l’école, très aimable, conversation importante, offre peut-être une planche de salut. Écrit à un éventuel traducteur en allemand, non sans lui envoyer en sus, par erreur de manipulation, tout un échange entre Marcel Meyer et moi sur la maison d’édition dont il est l’intermédiaire (mais c’était plutôt favorable, heureusement). L’IN-NOCENT. Vu tardivement un film d’Anna Novion, Rendez-vous à Kiruna, 2012, avec Jean-Pierre Daroussin, pas mal. Journal. Autoportrait. Couché à 2 heures.
Le Jour ni l’Heure : autoportrait au cœur des ténèbres, Plieux, bibliothèque, mercredi 15 juillet 2015, 25:30:26
Mercredi 15 juillet 2015. Saint Donald — 196/169. Plieux. Levés à 7 h 20. Très joli temps clair. Été avec Pierre à Lectoure, laboratoire d’analyse, pour y pissser dans un flacon, après troisième traitement. De retour vers 8 h & ½. Céline rediviva. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et escalier du matin même, avec les échafaudages, belle lumière. Carton pour les imprimeries Meyer. Tel. du sous-préfet H., invitation à dîner pour dimanche soir, mais ne mentionne pas P. Comptes : - 680,60 / vir. M. Fabrice de S., + 1000 / vir. PayPal, + 300,00 / “À venir”, - 433,20 . “Débiteur depuis 15 jours”. Agenda. 11 :15 /// Le Jour ni l’Heure, Agenda et autoportrait de la nuit, fenêtre de l’escalier le matin même, maison à Laréole, château de Laréole, L’Aube à Arquier de Marc Saint-Saëns. L’IN-NOCENT, intensément. Le Jour ni l’Heure, château en travaux le matin même, traitement pictorialiste intense d’un instantané du matin avec Pierre et Céline, La Conversation. Bain. Chronologie, cinq jours de juin 1970. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Un des ouvriers du chantier, le joli blond à moustache (mais il s’est rasé le crâne depuis la veille, paraît-il), à un accident sur l’échafaudage, s’ouvre sérieusement le genou, doit être transporté à l’hôpital. Un communiqué pour le parti (à propos d’autre chose). Un carton pour le NON. Atelier, fini la couverte 60x60 n° 73, Autoportrait VIII. Tenté par une révision du Paysage avec un château d’eau, mais y renonce. Repris la couverte éternelle. Dîné aux nouvelles. Regardé un peu de L’Auberge espagnole, mais c’est vraiment irregardable. Promenade au carrefour de La Rouquette. Rencontré la jeune femme de l’école, très aimable, conversation importante, offre peut-être une planche de salut. Écrit à un éventuel traducteur en allemand, non sans lui envoyer en sus, par erreur de manipulation, tout un échange entre Marcel Meyer et moi sur la maison d’édition dont il est l’intermédiaire (mais c’était plutôt favorable, heureusement). L’IN-NOCENT. Vu tardivement un film d’Anna Novion, Rendez-vous à Kiruna, 2012, avec Jean-Pierre Daroussin, pas mal. Journal. Autoportrait. Couché à 2 heures.