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42 SAINT-ETIENNE 1979 le centre commercial CENTRE DEUX Construction Historique de la CIMAISE sur les terres de l'ancienne prison de la ville..
Mémoire2cité 42 SAINT-ETIENNE CENTRE2 Constructions Historiques de la CIMAISE Dans les années 70, la population de Saint-Etienne, alors dirigée par le maire du Centre Républicain Michel Durafour, est d’environ 210 000 personnes. A cette époque, les grandes industries stéphanoises comme LES HOUILLERES DE LA LOIRE ou MANUFRANCE étaient en grande difficulté et licenciaient de plus en plus à cause de la concurrence des pays étrangers. Un centre commercial pour redynamiser le centre-ville C’est à partir de ce constat que la ville de Saint-Étienne à décider, sous l’égide du maire, de redynamiser le centre-ville. Pour ce faire, de nombreuses études ont démontrées qu’il fallait investir dans un centre commercial intra-urbain de grande ampleur, qui s’avéra être l’un des tous premiers en France. Dés lors le problème majeur a été le manque de place dans le centre ville de Saint-Etienne. La solution est venue de la prison, située en plein cœur de la ville. Celle-ci présentait des problèmes d’hygiène et de sécurité importants. Il a donc été décidé de relocaliser la prison à quelques kilomètres à proximité de La Talaudière. Le bâtiment laissé vide a été démolit (avec quelques habitats insalubres et de nombreuses usines) pour laisser place au projet de construction du nouveau centre commercial intra-urbain, destiné à créer un nouveau lieu d’intérêt pour les habitants et à devenir une référence en la matière. Un véritable quartier en construction Mais le centre commercial n’a pas été le seul bâtiment à être construit, c’est un nouveau quartier entier qui est créé avec des logements des activités tertiaires et commerciales. Ce quartier, imaginé selon le modèle du Central Business District, devient l’un des quartiers les plus animés, avec une vie autour de ce nouveau centre, qui va devenir un deuxième centre-ville, appelé tout logiquement CENTRE DEUX. Ce complexe commercial, a été conçu et réalisé dans sa globalité par CIMAISE ARCHITECTES. Un projet pharaonique Le centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville. L’avis de l’architecte @ Le centre commercial CENTRE DEUX n’a subi que des rénovations mineures tout au long de son existence, et aura été exploité pendant plus de 35 ans sous sa forme originelle, preuve de la qualité de la construction et de son design avant-gardiste pour l’époque Le centre commercial est aujourd’hui très bien desservie par les services de transports en communs avec la station de tramway spécialement pour CENTRE DEUX qui est la troisième plus fréquentée de la ville, et possède une station de taxis et une station de vélos. Grâce à ces moyens mis en œuvre CENTRE DEUX accueil chaque année plus de 7 millions de visiteurs. Le 2 octobre 1979, le centre commercial stéphanois ouvre ces portes Avec le bus anglais publicitaire dans les rues pour annoncer son ouverture.. C’est à l’époque le plus grand centre commercial de la région. On y trouve des l’ouverture, 100 boutiques sur 40 000 m2. Trois niveaux de chalandise et 1500 places de parking. À l’époque, c’est une véritable révolution. Un renouveau dans la ville. Il faut rappeler que sur la fin des années 70 et début 80, les grandes enseignes son encore a leurs balbutiants. Dès la fin de l’année 1974, la France compte déjà 230 centres commerciaux pour 5 millions de mètres carrés. Au fil des années, poussés par la multiplication des offres immobilières et l’intérêt commercial des centres commerciaux, les concepts des grandes enseignes de la distribution n’ont eu de cesse de s’améliorer et de se consolider. Le boom des réseaux de franchise en France a largement été encouragé par le dynamisme des centres commerciaux. Acteurs indissociables, centres commerciaux et chaînes d’enseignes ont grandi ensemble pour aboutir aujourd’hui au commerce moderne que l’on connaît. L’arrivée du BHV et de Continent À son ouverture, Centre-Deux accueille le BHV et Continent qui sera remplacé en 1989 par Auchan. Pendant 35 ans, cet édifice ne connaîtra pas de rénovation et pourtant, il était reconnu comme avant-gardiste pour son époque. Une marque forte des années 80 et 90. Ensuite, des 2000 et en 2005, quelques légères rénovations ont eu lieu, mais l’ADN de Centre 2 ne change pas à Saint-Étienne. Depuis toujours il est très fréquenté. Une réussite due a un accès facile. Le tramway s’arrête juste devant et le quartier Centre Deux et aussi le plus peuplé de Saint-Étienne. Les consommateurs sont donc ici tout trouvés.
Les années 2020, la chute puis la renaissance
Il n’est pas a caché que depuis quelques années, Centre-Deux a vieilli et le centre commercial souffre d’une mauvaise étiquette. On dit qu’il est mal fréquenté, que certains ne veulent plus y rentrer. Pourtant, les allées sont tout de même remplies malgré la fermeture de nombreuses enseignes qui ne sont parfois pas remplacées. Alors pour remédier a ça, le groupe Klépierre, propriétaire des murs a décidé de redonner à Centre Deux toute splendeur. Le groupe investit 23 millions d’euros pour la rénovation. La fin des travaux est prévue à l’automne 2022 avec également le très attendu Primark pour juin 2022. Ce dernier devrait prendre une place très importante dans le centre commercial. Jamais rénové véritablement en 42 ans, le lieu est en train de connaître sa révolution. L’arrivée de Primark On a pu faire un tour sur le lieu des travaux et on sait que 1000 tonnes de terre et 130 mètres de mur en béton ont été évacué. Plus d’espaces pour le magasin Primark qui va devenir la locomotive. On peut également remarquer des travaux avec une nouvelle surface sur le toit de Centre-Deux. Un espace immense pour l’enseigne irlandaise de prêt-à-porter. Bientôt, les Stéphanoises et Stéphanois et les autres pourront se balader dans les 3500 m2 de surface de vente (un total de 5400m2 avec les stocks du magasin. Deux ascenseurs et deux escalators seront installés dans Primark. Le nouveau look de Centre Deux Saint-Étienne Vous l’avez forcément remarqué, l’intérieur est en mode gros chantier. Le plafond de Centre-Deux est désossé pour être nettoyé et remplacé par un éclairage en LED plus lumineux avec différentes zones ou l’on pourra allumer ou éteindre en fonction du lieu. Dans quelques mois, la fontaine va être détruite pour avoir un espace plus ample. Elle sera remplacée par une grande place ou des animations pourront se faire. On peut imaginer : des Show cases, dédiasses, concerts, rencontres… L’intérieur va accueillir également de nouveaux espaces de repos et un ascenseur pour les caddies. La nouvelle façade en 3D avec des jeux de lumière L’extérieur va en surprendre plus d’un. Les entrées vont être modifiées et la façade sera en 3D avec des jeux de lumière. On devrait voir les premiers avancés de la façade en travaux en mars prochain. Mais pas facile de faire tourner les boutiques avec les travaux, le bruit et la poussière. Les équipes de ménages de Centre-Deux ont été renforcées pour que le lieu reste propre et accueillant. En attendant de voir ce nouveau centre-2, de nouvelles boutiques et de nouveaux restaurants, vous pouvez retrouver un film projeté à l’entrée principale de l’édifice qui raconte les différentes étapes des travaux du centre commercial.
- Quatre murs et un toit 1953 - Le Corbusier, l'architecte du bonheur 1957 conceptions architecturales le modulor, l'architecture de la ville radieuse, Chandigarh, Marseille, Nantes www.dailymotion.com/video/xw8prl Un documentaire consacré aux conceptions architecturales et urbanistiques de Le Corbusier.
Exposées par l'architecte lui-même et étayées par des plans, dessins et images de ses réalisations en France et à l'étranger, ces théories témoignent d'une réflexion approfondie et originale sur la ville et sa nécessaire adaptation à la vie moderne, notamment Paris dont l'aménagement révolutionnaire rêvé par Le Corbusier est ici exposé. Un classique du documentaire.
Les premiers projets de Le Corbusier resteront à l'état de maquette : le plan de modernisation de la ville d'Alger. Certains seront réalisés par d'autres architectes : ministère de l'éducation à Rio de Janeiro, Palais de l'ONU à New York. Dès l'après-guerre en moins de 10 ans, Le Corbusier réalise de grandes unités d'habitation à Marseille, Nantes une chapelle à Ronchamps, une usine à Saint-Dié, une ville Chandigarh en Inde. Par des schémas, l'architecte présente sa théorie de la "ville radieuse", le modulor clef mathématique de son œuvre ainsi que son projet de réorganisation de la campagne, des cités industrielles et urbaine en un regroupement autour d'un système coopératif. Le film expose les conceptions architecturales de Le Corbusier, dans la ligne des précurseurs de l'architecture moderne comme Claude-Nicolas Ledoux. Paris et le désert français 1957 réalisation : Roger Leenhardt et Sydney Jezequel, résoudre le déséquilibre démographique ville campagne www.dailymotion.com/video/x177lrp Film réalisé par Roger Leenhardt et Sydney Jezequel en 1957, d'après le livre de Jean-François Gravier. Document d'information général proposant les solutions de l'époque pour éviter la désertification des campagnes et la folie concentrationnaire des villes. Dès 1957, la désertification des campagnes prend des proportions tragiques. L'exemple est donné pour le village de Gourdon dans le Quercy.
Quelles évolutions proposer pour éviter l'exode rural et le développement anarchique, qui s'amorce, des villes champignons, construites en plein champ sans urbanisme et sans âme ? Le commentaire propose les solutions de l'époque : modernisation de l'agriculture, adaptation de l'artisanat, implantations d'industries dans les provinces. Gazoducs dans le sud-ouest, barrage en Haute-Savoie, polder en Bretagne semblaient à l'époque pouvoir résoudre le déséquilibre ville campagne. Visages de la France 1957 Production - réalisation Atlantic-Film Marcel de Hubsch www.dailymotion.com/video/x19g59p Le film commence avec des vues de villages et d'architecture traditionnelle du Pays Basque, des Landes, de la Touraine, de la Normandie, de la Bretagne, d'Alsace. La voix off s'interroge : faut il transformer la France en un musée de ses vieilles demeures ? et poursuit : pourquoi des maisons de 10 à 15 mètres de hauteur à Honfleur n'ont elles que 3 à 5 mètres de large ? Le commentaire se pose la question du nombre de maisons individuelles dans les villes qui entrainent l'étalement urbain. Lorsque les villes ont bâtit des immeubles, le commentaire se demande que cachent ces façades ? Des coures étroites que le soleil ne visite jamais, un enchevêtrement inouï de constructions hétéroclites. L'époque de grande prospérité de la troisième république n'a rien su construire de grand poursuit la voix off. Ce document nous propose ensuite une animation de maquette pour l'aménagement d'une friche. Dans un premier temps à la façon d'avant avec la maison individuelle. La voix off s'exclame : ce n'est pas autrement que d'affreuses banlieues naquirent que tant de villes furent à jamais enlaidies, essayons autre chose. L'animation se met à empiler les maisons individuelles et propose des bâtiments collectifs dans des jardins. Le commentaire poursuit : maintenant c'est l'heure de l'urbaniste à lui de répartir les constructions dans la cité. Plusieurs organisation de logements collectifs sont proposées en maquettes. La voix off pointe les défauts d'un urbanisme des grands ensemble trop ennuyeux. Puis une solution émerge de l'animation : pour que la cité vive il faut mettre au place d'honneur école, dispensaire, bibliothèque, salle de réunion, puis viennent les deux pièces maîtresse deux grands immeubles puis les rues se glissent dans la composition et enfin les pelouse et les jardins apparaissent et voila conclue le commentaire. Le film montre ensuite de réalisation de grands ensemble et on entre dans un immeuble au sein d'une famille : air et lumière sont au rendes-vous. On voit des enfants faire du patin à roulette dans le parc de l'immeuble la voix off annonce : finit l'individualisme renfrogné de l'échoppe d'antan : la cité tout entière est un jardin, les jeux d'enfants se mêlent aux fleurs. Le film se termine sur des vues de réalisation de grands ensemble sur toute la France (vue entre autre de la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille). Production Films Caravelle MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) Scenario et réalisation : Pierre JaLLAUD
42 SAINT-ETIENNE 1979 le centre commercial CENTRE DEUX Construction Historique de la CIMAISE sur les terres de l'ancienne prison de la ville..
Mémoire2cité 42 SAINT-ETIENNE CENTRE2 Constructions Historiques de la CIMAISE Dans les années 70, la population de Saint-Etienne, alors dirigée par le maire du Centre Républicain Michel Durafour, est d’environ 210 000 personnes. A cette époque, les grandes industries stéphanoises comme LES HOUILLERES DE LA LOIRE ou MANUFRANCE étaient en grande difficulté et licenciaient de plus en plus à cause de la concurrence des pays étrangers. Un centre commercial pour redynamiser le centre-ville C’est à partir de ce constat que la ville de Saint-Étienne à décider, sous l’égide du maire, de redynamiser le centre-ville. Pour ce faire, de nombreuses études ont démontrées qu’il fallait investir dans un centre commercial intra-urbain de grande ampleur, qui s’avéra être l’un des tous premiers en France. Dés lors le problème majeur a été le manque de place dans le centre ville de Saint-Etienne. La solution est venue de la prison, située en plein cœur de la ville. Celle-ci présentait des problèmes d’hygiène et de sécurité importants. Il a donc été décidé de relocaliser la prison à quelques kilomètres à proximité de La Talaudière. Le bâtiment laissé vide a été démolit (avec quelques habitats insalubres et de nombreuses usines) pour laisser place au projet de construction du nouveau centre commercial intra-urbain, destiné à créer un nouveau lieu d’intérêt pour les habitants et à devenir une référence en la matière. Un véritable quartier en construction Mais le centre commercial n’a pas été le seul bâtiment à être construit, c’est un nouveau quartier entier qui est créé avec des logements des activités tertiaires et commerciales. Ce quartier, imaginé selon le modèle du Central Business District, devient l’un des quartiers les plus animés, avec une vie autour de ce nouveau centre, qui va devenir un deuxième centre-ville, appelé tout logiquement CENTRE DEUX. Ce complexe commercial, a été conçu et réalisé dans sa globalité par CIMAISE ARCHITECTES. Un projet pharaonique Le centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville. L’avis de l’architecte @ Le centre commercial CENTRE DEUX n’a subi que des rénovations mineures tout au long de son existence, et aura été exploité pendant plus de 35 ans sous sa forme originelle, preuve de la qualité de la construction et de son design avant-gardiste pour l’époque Le centre commercial est aujourd’hui très bien desservie par les services de transports en communs avec la station de tramway spécialement pour CENTRE DEUX qui est la troisième plus fréquentée de la ville, et possède une station de taxis et une station de vélos. Grâce à ces moyens mis en œuvre CENTRE DEUX accueil chaque année plus de 7 millions de visiteurs. Le 2 octobre 1979, le centre commercial stéphanois ouvre ces portes Avec le bus anglais publicitaire dans les rues pour annoncer son ouverture.. C’est à l’époque le plus grand centre commercial de la région. On y trouve des l’ouverture, 100 boutiques sur 40 000 m2. Trois niveaux de chalandise et 1500 places de parking. À l’époque, c’est une véritable révolution. Un renouveau dans la ville. Il faut rappeler que sur la fin des années 70 et début 80, les grandes enseignes son encore a leurs balbutiants. Dès la fin de l’année 1974, la France compte déjà 230 centres commerciaux pour 5 millions de mètres carrés. Au fil des années, poussés par la multiplication des offres immobilières et l’intérêt commercial des centres commerciaux, les concepts des grandes enseignes de la distribution n’ont eu de cesse de s’améliorer et de se consolider. Le boom des réseaux de franchise en France a largement été encouragé par le dynamisme des centres commerciaux. Acteurs indissociables, centres commerciaux et chaînes d’enseignes ont grandi ensemble pour aboutir aujourd’hui au commerce moderne que l’on connaît. L’arrivée du BHV et de Continent À son ouverture, Centre-Deux accueille le BHV et Continent qui sera remplacé en 1989 par Auchan. Pendant 35 ans, cet édifice ne connaîtra pas de rénovation et pourtant, il était reconnu comme avant-gardiste pour son époque. Une marque forte des années 80 et 90. Ensuite, des 2000 et en 2005, quelques légères rénovations ont eu lieu, mais l’ADN de Centre 2 ne change pas à Saint-Étienne. Depuis toujours il est très fréquenté. Une réussite due a un accès facile. Le tramway s’arrête juste devant et le quartier Centre Deux et aussi le plus peuplé de Saint-Étienne. Les consommateurs sont donc ici tout trouvés.
Les années 2020, la chute puis la renaissance
Il n’est pas a caché que depuis quelques années, Centre-Deux a vieilli et le centre commercial souffre d’une mauvaise étiquette. On dit qu’il est mal fréquenté, que certains ne veulent plus y rentrer. Pourtant, les allées sont tout de même remplies malgré la fermeture de nombreuses enseignes qui ne sont parfois pas remplacées. Alors pour remédier a ça, le groupe Klépierre, propriétaire des murs a décidé de redonner à Centre Deux toute splendeur. Le groupe investit 23 millions d’euros pour la rénovation. La fin des travaux est prévue à l’automne 2022 avec également le très attendu Primark pour juin 2022. Ce dernier devrait prendre une place très importante dans le centre commercial. Jamais rénové véritablement en 42 ans, le lieu est en train de connaître sa révolution. L’arrivée de Primark On a pu faire un tour sur le lieu des travaux et on sait que 1000 tonnes de terre et 130 mètres de mur en béton ont été évacué. Plus d’espaces pour le magasin Primark qui va devenir la locomotive. On peut également remarquer des travaux avec une nouvelle surface sur le toit de Centre-Deux. Un espace immense pour l’enseigne irlandaise de prêt-à-porter. Bientôt, les Stéphanoises et Stéphanois et les autres pourront se balader dans les 3500 m2 de surface de vente (un total de 5400m2 avec les stocks du magasin. Deux ascenseurs et deux escalators seront installés dans Primark. Le nouveau look de Centre Deux Saint-Étienne Vous l’avez forcément remarqué, l’intérieur est en mode gros chantier. Le plafond de Centre-Deux est désossé pour être nettoyé et remplacé par un éclairage en LED plus lumineux avec différentes zones ou l’on pourra allumer ou éteindre en fonction du lieu. Dans quelques mois, la fontaine va être détruite pour avoir un espace plus ample. Elle sera remplacée par une grande place ou des animations pourront se faire. On peut imaginer : des Show cases, dédiasses, concerts, rencontres… L’intérieur va accueillir également de nouveaux espaces de repos et un ascenseur pour les caddies. La nouvelle façade en 3D avec des jeux de lumière L’extérieur va en surprendre plus d’un. Les entrées vont être modifiées et la façade sera en 3D avec des jeux de lumière. On devrait voir les premiers avancés de la façade en travaux en mars prochain. Mais pas facile de faire tourner les boutiques avec les travaux, le bruit et la poussière. Les équipes de ménages de Centre-Deux ont été renforcées pour que le lieu reste propre et accueillant. En attendant de voir ce nouveau centre-2, de nouvelles boutiques et de nouveaux restaurants, vous pouvez retrouver un film projeté à l’entrée principale de l’édifice qui raconte les différentes étapes des travaux du centre commercial.
- Quatre murs et un toit 1953 - Le Corbusier, l'architecte du bonheur 1957 conceptions architecturales le modulor, l'architecture de la ville radieuse, Chandigarh, Marseille, Nantes www.dailymotion.com/video/xw8prl Un documentaire consacré aux conceptions architecturales et urbanistiques de Le Corbusier.
Exposées par l'architecte lui-même et étayées par des plans, dessins et images de ses réalisations en France et à l'étranger, ces théories témoignent d'une réflexion approfondie et originale sur la ville et sa nécessaire adaptation à la vie moderne, notamment Paris dont l'aménagement révolutionnaire rêvé par Le Corbusier est ici exposé. Un classique du documentaire.
Les premiers projets de Le Corbusier resteront à l'état de maquette : le plan de modernisation de la ville d'Alger. Certains seront réalisés par d'autres architectes : ministère de l'éducation à Rio de Janeiro, Palais de l'ONU à New York. Dès l'après-guerre en moins de 10 ans, Le Corbusier réalise de grandes unités d'habitation à Marseille, Nantes une chapelle à Ronchamps, une usine à Saint-Dié, une ville Chandigarh en Inde. Par des schémas, l'architecte présente sa théorie de la "ville radieuse", le modulor clef mathématique de son œuvre ainsi que son projet de réorganisation de la campagne, des cités industrielles et urbaine en un regroupement autour d'un système coopératif. Le film expose les conceptions architecturales de Le Corbusier, dans la ligne des précurseurs de l'architecture moderne comme Claude-Nicolas Ledoux. Paris et le désert français 1957 réalisation : Roger Leenhardt et Sydney Jezequel, résoudre le déséquilibre démographique ville campagne www.dailymotion.com/video/x177lrp Film réalisé par Roger Leenhardt et Sydney Jezequel en 1957, d'après le livre de Jean-François Gravier. Document d'information général proposant les solutions de l'époque pour éviter la désertification des campagnes et la folie concentrationnaire des villes. Dès 1957, la désertification des campagnes prend des proportions tragiques. L'exemple est donné pour le village de Gourdon dans le Quercy.
Quelles évolutions proposer pour éviter l'exode rural et le développement anarchique, qui s'amorce, des villes champignons, construites en plein champ sans urbanisme et sans âme ? Le commentaire propose les solutions de l'époque : modernisation de l'agriculture, adaptation de l'artisanat, implantations d'industries dans les provinces. Gazoducs dans le sud-ouest, barrage en Haute-Savoie, polder en Bretagne semblaient à l'époque pouvoir résoudre le déséquilibre ville campagne. Visages de la France 1957 Production - réalisation Atlantic-Film Marcel de Hubsch www.dailymotion.com/video/x19g59p Le film commence avec des vues de villages et d'architecture traditionnelle du Pays Basque, des Landes, de la Touraine, de la Normandie, de la Bretagne, d'Alsace. La voix off s'interroge : faut il transformer la France en un musée de ses vieilles demeures ? et poursuit : pourquoi des maisons de 10 à 15 mètres de hauteur à Honfleur n'ont elles que 3 à 5 mètres de large ? Le commentaire se pose la question du nombre de maisons individuelles dans les villes qui entrainent l'étalement urbain. Lorsque les villes ont bâtit des immeubles, le commentaire se demande que cachent ces façades ? Des coures étroites que le soleil ne visite jamais, un enchevêtrement inouï de constructions hétéroclites. L'époque de grande prospérité de la troisième république n'a rien su construire de grand poursuit la voix off. Ce document nous propose ensuite une animation de maquette pour l'aménagement d'une friche. Dans un premier temps à la façon d'avant avec la maison individuelle. La voix off s'exclame : ce n'est pas autrement que d'affreuses banlieues naquirent que tant de villes furent à jamais enlaidies, essayons autre chose. L'animation se met à empiler les maisons individuelles et propose des bâtiments collectifs dans des jardins. Le commentaire poursuit : maintenant c'est l'heure de l'urbaniste à lui de répartir les constructions dans la cité. Plusieurs organisation de logements collectifs sont proposées en maquettes. La voix off pointe les défauts d'un urbanisme des grands ensemble trop ennuyeux. Puis une solution émerge de l'animation : pour que la cité vive il faut mettre au place d'honneur école, dispensaire, bibliothèque, salle de réunion, puis viennent les deux pièces maîtresse deux grands immeubles puis les rues se glissent dans la composition et enfin les pelouse et les jardins apparaissent et voila conclue le commentaire. Le film montre ensuite de réalisation de grands ensemble et on entre dans un immeuble au sein d'une famille : air et lumière sont au rendes-vous. On voit des enfants faire du patin à roulette dans le parc de l'immeuble la voix off annonce : finit l'individualisme renfrogné de l'échoppe d'antan : la cité tout entière est un jardin, les jeux d'enfants se mêlent aux fleurs. Le film se termine sur des vues de réalisation de grands ensemble sur toute la France (vue entre autre de la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille). Production Films Caravelle MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) Scenario et réalisation : Pierre JaLLAUD