famille de Forgerons-1870. H.Lefort 55/61
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Image fixe tridimensionnelle : stéréoscopique
Auteur(s) : Lefort (1804-1880 ; photographe). Photographe
Titre(s) : [Recueil. Vues stéréoscopiques de Lefort. Scènes composées : à la forge] [Image fixe] /
Lefort
Date(s) : Paris, [1859]
Description matérielle : 6 photogr. pos. (vues stéréoscopiques) sur papier albuminé d'après des
négatifs sur verre au collodion ; 8,6 x 17,6 cm
Note(s) : Timbre sec : "Lefort Fg St Martin 33 Paris"
S : BNF
/////////////////////////
additif 09/23
Comment ai-je pu passer à côté de cette évidence ?
Sûrement, car Joséphine Dehm esquisse un sourire, elle qui sur toutes les stéréos a l'air de tant s’ennuyer…
Impardonnable !
Photographe Pierre Henry Amand Braud !
Stereos 1855/1861 ; le diorama beaucoup plus contemporain.
How could I have missed the obvious?
Surely because Josephine Dehm sketches a smile, she who on all stereotypes looks so bored...
Unforgivable!
Photographer Pierre Henry Amand Braud!
Stereos 1855/1861 ; the diorama much more contemporary.
////////////////////
Pour une fois que j'ai une signature ( initial en creux typo)
CH G. Paris. Soit Charles Gaudin, un des frères, n'est pas le plus connu pour ces prises de photographie !
D.Pellerin dans son livre sur les Frères Gaudins attribue 2000 cartes de visite à Alexis Gaudin le scientifique de la fratrie.
( trouvant les temps de pose encore beaucoup trop longs ( 8 à 15 minutes en pleine lumière), et du coup les expressions, et rendu de celle-ci ne correspondant pas trop au modèle, crispé dans son immobilité. Il passera une journée entière en extérieur se prenant lui-même au
daguerréotype essayant vainement d’améliorer le système. Plus la journée avançait, plus il se trouvait sombre sur ces essais, avant de s'apercevoir qu'il avait , rester au soleil la journée sans bouger, attraper un bon coup de soleil sur le visage…
Ce qui ne m'avance pas vraiment pour le vrai nom du photographe, les frères distribuant des stereoviews de photographes du monde entier.
Nous avons au moins la date de fin ! 1872.
Et cela sent la fin…
Le papier albuminé est coloré bleu et rose. Aucun perçage.
Et une mise en couleur assez grossière ( même un côté de l’enclume du coup devient vert)
Le forgeron de premier plan n'a droit à aucun coup de pinceau !
En fait, avec trois pochoirs, l'affaire est bâclée.
Le vert, le bleu de la robe est la seule subtilité, le pantalon du deuxième forgeron très légèrement coloré, plus le rose de la lavandière.
Nous sommes bien en intérieur, le papier peint en haut nous l'indique, ainsi que l’épaisseur des parois de la cheminée en similipierres… Un manque criant de rouge feu vif, le minimum dans une forge…
Vulcain est trop occupé par les vues enflammées des stéréos sur la commune de paris à cette même époque.
Une question quand même ; les frères Gaudins recevaient-ils les stéréos encartonnées ou était-ce à eux de les transformer en dioramas ?
Un mystère de plus…
For once I have a signature (initial typeset)
CH G. Paris. Either Charles Gaudin, one of the brothers is not the best known for these photographs!
D.Pellerin in his book on the Gaudins Brothers awards 2,000 visiting cards to Alexis Gaudin the scientist of the siblings.
(finding the exposure times still much too long ( 8 to 15 minutes in full light), and therefore the expressions and rendering of it does not correspond too much to the model, tensed in its immobility. He’ll spend a whole day outdoors taking himself to the daguerreotype vainly trying to improve the system. As the day progressed, he was darker on these tests, before realizing that he had to stay in the sun during the day without moving to catch a good sunburn on his face....
Which doesn’t really advance me for the photographer’s real name, the brothers distributing stereoviews of photographers from around the world.
We have at least the end date! 1872.
And it smells like the end....
The albumin paper is colored blue and pink. No piercing.
And a rather coarse color setting (even one side of the anvil of the blow becomes green)
The leading blacksmith doesn’t get any brushstrokes!
In fact with three stencils the case is botched.
The green, blue dress is only subtlety the pants of the second blacksmith very slightly colored, plus the rose of the lavender.
We are well inside, the wallpaper at the top tells us, as well as the thickness of the walls of the chimney in simulated stones... A crying lack of bright red fire, the minimum in a forge...
Vulcan is too busy with the fiery views of the stereos on the commune of Paris at the same time.
One question anyway: did the Gaudin brothers receive the encartonnated stereos or was it up to them to transform them into dioramas?
And one more mystery...
famille de Forgerons-1870. H.Lefort 55/61
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Image fixe tridimensionnelle : stéréoscopique
Auteur(s) : Lefort (1804-1880 ; photographe). Photographe
Titre(s) : [Recueil. Vues stéréoscopiques de Lefort. Scènes composées : à la forge] [Image fixe] /
Lefort
Date(s) : Paris, [1859]
Description matérielle : 6 photogr. pos. (vues stéréoscopiques) sur papier albuminé d'après des
négatifs sur verre au collodion ; 8,6 x 17,6 cm
Note(s) : Timbre sec : "Lefort Fg St Martin 33 Paris"
S : BNF
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additif 09/23
Comment ai-je pu passer à côté de cette évidence ?
Sûrement, car Joséphine Dehm esquisse un sourire, elle qui sur toutes les stéréos a l'air de tant s’ennuyer…
Impardonnable !
Photographe Pierre Henry Amand Braud !
Stereos 1855/1861 ; le diorama beaucoup plus contemporain.
How could I have missed the obvious?
Surely because Josephine Dehm sketches a smile, she who on all stereotypes looks so bored...
Unforgivable!
Photographer Pierre Henry Amand Braud!
Stereos 1855/1861 ; the diorama much more contemporary.
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Pour une fois que j'ai une signature ( initial en creux typo)
CH G. Paris. Soit Charles Gaudin, un des frères, n'est pas le plus connu pour ces prises de photographie !
D.Pellerin dans son livre sur les Frères Gaudins attribue 2000 cartes de visite à Alexis Gaudin le scientifique de la fratrie.
( trouvant les temps de pose encore beaucoup trop longs ( 8 à 15 minutes en pleine lumière), et du coup les expressions, et rendu de celle-ci ne correspondant pas trop au modèle, crispé dans son immobilité. Il passera une journée entière en extérieur se prenant lui-même au
daguerréotype essayant vainement d’améliorer le système. Plus la journée avançait, plus il se trouvait sombre sur ces essais, avant de s'apercevoir qu'il avait , rester au soleil la journée sans bouger, attraper un bon coup de soleil sur le visage…
Ce qui ne m'avance pas vraiment pour le vrai nom du photographe, les frères distribuant des stereoviews de photographes du monde entier.
Nous avons au moins la date de fin ! 1872.
Et cela sent la fin…
Le papier albuminé est coloré bleu et rose. Aucun perçage.
Et une mise en couleur assez grossière ( même un côté de l’enclume du coup devient vert)
Le forgeron de premier plan n'a droit à aucun coup de pinceau !
En fait, avec trois pochoirs, l'affaire est bâclée.
Le vert, le bleu de la robe est la seule subtilité, le pantalon du deuxième forgeron très légèrement coloré, plus le rose de la lavandière.
Nous sommes bien en intérieur, le papier peint en haut nous l'indique, ainsi que l’épaisseur des parois de la cheminée en similipierres… Un manque criant de rouge feu vif, le minimum dans une forge…
Vulcain est trop occupé par les vues enflammées des stéréos sur la commune de paris à cette même époque.
Une question quand même ; les frères Gaudins recevaient-ils les stéréos encartonnées ou était-ce à eux de les transformer en dioramas ?
Un mystère de plus…
For once I have a signature (initial typeset)
CH G. Paris. Either Charles Gaudin, one of the brothers is not the best known for these photographs!
D.Pellerin in his book on the Gaudins Brothers awards 2,000 visiting cards to Alexis Gaudin the scientist of the siblings.
(finding the exposure times still much too long ( 8 to 15 minutes in full light), and therefore the expressions and rendering of it does not correspond too much to the model, tensed in its immobility. He’ll spend a whole day outdoors taking himself to the daguerreotype vainly trying to improve the system. As the day progressed, he was darker on these tests, before realizing that he had to stay in the sun during the day without moving to catch a good sunburn on his face....
Which doesn’t really advance me for the photographer’s real name, the brothers distributing stereoviews of photographers from around the world.
We have at least the end date! 1872.
And it smells like the end....
The albumin paper is colored blue and pink. No piercing.
And a rather coarse color setting (even one side of the anvil of the blow becomes green)
The leading blacksmith doesn’t get any brushstrokes!
In fact with three stencils the case is botched.
The green, blue dress is only subtlety the pants of the second blacksmith very slightly colored, plus the rose of the lavender.
We are well inside, the wallpaper at the top tells us, as well as the thickness of the walls of the chimney in simulated stones... A crying lack of bright red fire, the minimum in a forge...
Vulcan is too busy with the fiery views of the stereos on the commune of Paris at the same time.
One question anyway: did the Gaudin brothers receive the encartonnated stereos or was it up to them to transform them into dioramas?
And one more mystery...