Café chantant. Champs Elysées. C1900
Si vous en avez l’occasion visionnée ce diorama vous comprendrez mon
désappointement du résultat ici présenté. Je n'ai trouvé qu'une gravure
de 1836 correspondant à ce kiosque a musiqué intégrer dans un grand jardin probablement d'un restaurant.
Je ne pense pas que le diorama puisse être d'avant 1900,
la photo employée est peut-être antérieure.
Le militaire deux fois décoré, lui aussi pose problème :
impossible de trouver un uniforme avec bicorne et une seule rangée de boutons devant, polytechnique, marine ou autres ont tous deux rangés de boutons....
Juste trouvé l'équivalent dans « l'armée Française », sans plus de renseignement, sauf que les culottes étaient rouges évidements et surtout avec une rayure dorée sur le côté.
On ne voit pas son pantalon sur la stéréo...
Ça énerve !
Pour apprécier ce diorama au stéréoscope, il m'a fallu enlever la couche de papier blanc assez épais qui empêchait la diffusion de la lumière.
Et croyez-moi avant de hurler à la manipulation/amputation
d'un original... le diorama, c’est vraiment révélé alors !
Bon le choix de mettre des points de couleurs dans des arbustes...
La colorisation est assez pauvre, des aplats de couleurs unis... Cela n'aide pas non plus, surtout sur le premier plan avec toutes ces chaises vides qui se retrouve entre deux coups de pinceau de couleurs opposées !
L'anaglyphe du coup assez médiocre en effet alors que le rendu réel de l'image est bien plus intéressant, avec encore une fois cet enchevêtrement de dos de chaises métalliques.
L'emploi de papier transparent et coloré est particulièrement étonnant et on imagine le travaille dans les arbustes.
Cette technique réservée d'habitude à des
rangées de fenêtres ou d'éclairages urbains pas toujours du meilleur effet. (la surcouche du collage en bande coloré n’était plus translucide ! )
Ce qui explique peut-être l'emploi de ce papier protecteur très épais ?
Aucune idée de la manipulation pour coller ces « confettis » colorés.
À cette époque la 3M n'était encore qu'une mine...
Aucune trace de colle ou de vernis !
Sur les dioramas d'avant 1870, les perçages
étaient colorés par point au pinceau ou autres et sans bavure ou coulures!!
Jamais rien lu de sérieux sur la fabrication de diorama, pochoir oui, etc.
Mais il y a tellement d'interrogations et de possibilités !
Cela énerve !
If you have the opportunity viewed this diorama you will understand my
disappointment of the result presented here.
I found only one engraving
of 1836 corresponding to this musical kiosk integrated into a large
garden probably of a restaurant.
I don’t think the diorama
may be pre-1900, the photo used may be earlier.
The two-time decorated soldier, too, poses a problem: impossible to
find a uniform with a bicorn and a single row of buttons
front, polytechnic, marine or other have both rows of
buttons.
Just found the equivalent in «the French army», without more than
information, except that the panties were obviously red and
especially with a golden stripe on the side.
You don’t see his pants on the stereo...
It’s annoying!
To appreciate this diorama with stereoscope I had to remove the layer
of thick white paper that prevented the spread of the
light.
And believe me before you scream at manipulation/amputation
of an original...the diorama is really revealed then!
Good choice to put color dots in shrubs...
The colorization is rather poor, flat plain colors...
This does not help not either, especially in the foreground with all those empty chairs
who finds himself between two brush strokes of opposite colors!
The anaglyph of the blow rather mediocre indeed while the real rendering
image is much more interesting, with once again this
metal chair back tangle.
Use of paper transparent and colorful is particularly amazing and one imagines the
works in shrubs. This technique is usually reserved for
rows of windows or urban lights not always the best
effect. ( the coating of the coloured tape was no longer translucent ! )
Which may explain the use of this very thick protective paper?
No idea of the manipulation to stick these colored «confetti».
At that time the 3M was still only a mine...
No trace of glue or varnish !
On pre-1870 dioramas, piercings
were point-coloured with a brush or other and not smudged, or
drips!
Never read anything serious about the manufacture of diorama, stencil yes
etc. But there are so many questions and possibilities!
This is so annoying!
Café chantant. Champs Elysées. C1900
Si vous en avez l’occasion visionnée ce diorama vous comprendrez mon
désappointement du résultat ici présenté. Je n'ai trouvé qu'une gravure
de 1836 correspondant à ce kiosque a musiqué intégrer dans un grand jardin probablement d'un restaurant.
Je ne pense pas que le diorama puisse être d'avant 1900,
la photo employée est peut-être antérieure.
Le militaire deux fois décoré, lui aussi pose problème :
impossible de trouver un uniforme avec bicorne et une seule rangée de boutons devant, polytechnique, marine ou autres ont tous deux rangés de boutons....
Juste trouvé l'équivalent dans « l'armée Française », sans plus de renseignement, sauf que les culottes étaient rouges évidements et surtout avec une rayure dorée sur le côté.
On ne voit pas son pantalon sur la stéréo...
Ça énerve !
Pour apprécier ce diorama au stéréoscope, il m'a fallu enlever la couche de papier blanc assez épais qui empêchait la diffusion de la lumière.
Et croyez-moi avant de hurler à la manipulation/amputation
d'un original... le diorama, c’est vraiment révélé alors !
Bon le choix de mettre des points de couleurs dans des arbustes...
La colorisation est assez pauvre, des aplats de couleurs unis... Cela n'aide pas non plus, surtout sur le premier plan avec toutes ces chaises vides qui se retrouve entre deux coups de pinceau de couleurs opposées !
L'anaglyphe du coup assez médiocre en effet alors que le rendu réel de l'image est bien plus intéressant, avec encore une fois cet enchevêtrement de dos de chaises métalliques.
L'emploi de papier transparent et coloré est particulièrement étonnant et on imagine le travaille dans les arbustes.
Cette technique réservée d'habitude à des
rangées de fenêtres ou d'éclairages urbains pas toujours du meilleur effet. (la surcouche du collage en bande coloré n’était plus translucide ! )
Ce qui explique peut-être l'emploi de ce papier protecteur très épais ?
Aucune idée de la manipulation pour coller ces « confettis » colorés.
À cette époque la 3M n'était encore qu'une mine...
Aucune trace de colle ou de vernis !
Sur les dioramas d'avant 1870, les perçages
étaient colorés par point au pinceau ou autres et sans bavure ou coulures!!
Jamais rien lu de sérieux sur la fabrication de diorama, pochoir oui, etc.
Mais il y a tellement d'interrogations et de possibilités !
Cela énerve !
If you have the opportunity viewed this diorama you will understand my
disappointment of the result presented here.
I found only one engraving
of 1836 corresponding to this musical kiosk integrated into a large
garden probably of a restaurant.
I don’t think the diorama
may be pre-1900, the photo used may be earlier.
The two-time decorated soldier, too, poses a problem: impossible to
find a uniform with a bicorn and a single row of buttons
front, polytechnic, marine or other have both rows of
buttons.
Just found the equivalent in «the French army», without more than
information, except that the panties were obviously red and
especially with a golden stripe on the side.
You don’t see his pants on the stereo...
It’s annoying!
To appreciate this diorama with stereoscope I had to remove the layer
of thick white paper that prevented the spread of the
light.
And believe me before you scream at manipulation/amputation
of an original...the diorama is really revealed then!
Good choice to put color dots in shrubs...
The colorization is rather poor, flat plain colors...
This does not help not either, especially in the foreground with all those empty chairs
who finds himself between two brush strokes of opposite colors!
The anaglyph of the blow rather mediocre indeed while the real rendering
image is much more interesting, with once again this
metal chair back tangle.
Use of paper transparent and colorful is particularly amazing and one imagines the
works in shrubs. This technique is usually reserved for
rows of windows or urban lights not always the best
effect. ( the coating of the coloured tape was no longer translucent ! )
Which may explain the use of this very thick protective paper?
No idea of the manipulation to stick these colored «confetti».
At that time the 3M was still only a mine...
No trace of glue or varnish !
On pre-1870 dioramas, piercings
were point-coloured with a brush or other and not smudged, or
drips!
Never read anything serious about the manufacture of diorama, stencil yes
etc. But there are so many questions and possibilities!
This is so annoying!