Humbles mais heureuses demeures des pêcheurs de Claddagh. Galway, Irlande 1903.
Titre à vomir ! C'est vrai que personnellement moi cela me donne envie d’être humble et heureux en voyant cette cour d'habitations de pécheurs emplis de détritus, même des pierres !
La tâche des mômes est elle d'y mettre de l'ordre. Du tissu, des vêtements et pleins de choses non identifiées ! Ramené avant trie avec la charrette en arrière-plans ? Trouvé sur la plage ? Aucun animal, reniflant le butin. À vomir je vous dis ! Et je reste effectivement humble devant cette horrible ( typique ? ) stereviews....
« L’Irlande a été marquée, comme l’Europe en général, par une très forte
émigration. Le point de départ n’est pas la Grande Famine de 1845-1849.
Puisque entre 1815 et 1845 déjà, presque un million de personnes quittent
l’Irlande. Le développement d’un champignon, responsable du pourrissement des
récoltes de pommes de terre (principale ressource alimentaire de la population)
pendant trois années consécutives, contribue à l'intensification de ces flux.
L’émigration est pour beaucoup d’Irlandais la seule alternative à la malnutrition
et aux épidémies qu’il entraîne. Si les migrations irlandaises sont plus précoces que celles de leurs homologues
européens, la destination privilégiée apparaît la même : les États-Unis (80 %
contre 20 % pour la Grande-Bretagne, l’Australie et les colonies britanniques).
Les facteurs d'émigration sont tout autant caractéristiques : au-delà de la
pénurie alimentaire, la forte fécondité a renforcé un mouvement causé par le
retard industriel des villes irlandaises : l’exode rural se transforme en émigration
vers des villes étrangères en plein essor.
Après un voyage éprouvant, la plupart s’installent dans les grandes villes de la
côte Est et constituent un prolétariat employé aux tâches les plus pénibles et les
moins rémunérées. Pays de tous les espoirs, les États-Unis sont loin de
constituer un Eldorado pour les immigrés tant l’intégration des Irlandais aux
États-Unis suscite des réactions xénophobes de la part des natifs (en raison de
différences culturelles, notamment religieuses). Si certains peuvent même revendiquer une belle réussite sociale, le lien entre la diaspora irlando-américaine et le pays d’origine reste fort. »
S:
www.ac-clermont.fr/disciplines/fileadmin/user_upload/Hist...
Humble but happy homes of the Claddagh fisher-folk. Galway, Ireland 1903
Title to vomit! Humble and happy; happy to be humble or humble even with their happiness? It is true that personally it makes me want to be humble and happy by seeing this course of dwellings of sinners filled with rubbish even of stones!
The task of the kids is to put in order . Fabric, clothes and many unidentified things! Brought back before sorts with the wagon in the background? Found on the beach? No animals, sniffing the loot. To vomit I tell you! And I actually remain humble before this horrible ( typical? ) stereviews....
« Ireland, like Europe in general, was marked by a very strong
emigration. The starting point is not the Great Famine of 1845-1849.
Since between 1815 and 1845 already, almost one million people leave
Ireland. The development of a fungus, responsible for the decay of
potato harvests (the main food resource of the population)
for three consecutive years, contributes to the intensification of these flows.
Emigration is for many Irish the only alternative to malnutrition
and the epidemics it causes. If Irish migration is earlier than that of their counterparts
The preferred destination appears to be the same: the United States (80%)
against 20% for Great Britain, Australia and the British colonies).
The factors of emigration are equally characteristic: beyond the
food shortage, high fertility has reinforced a movement caused by the
industrial backwardness of Irish cities: rural exodus turns into emigration
towards booming foreign cities.
After a difficult journey, most of them settled in the big cities of the
East coast and constitute a proletariat employed to the most painful tasks and the
countries of all hopes, the United States is far from
the integration of the Irish into the
The United States provokes xenophobic reactions on the part of the natives (due to
cultural differences, including religious differences). If some may even
to claim a great social success, the link between the Irish diaspora-
America and the country of origin remains strong. »
S:
www.ac-clermont.fr/disciplines/fileadmin/user_upload/Hist...
Humbles mais heureuses demeures des pêcheurs de Claddagh. Galway, Irlande 1903.
Titre à vomir ! C'est vrai que personnellement moi cela me donne envie d’être humble et heureux en voyant cette cour d'habitations de pécheurs emplis de détritus, même des pierres !
La tâche des mômes est elle d'y mettre de l'ordre. Du tissu, des vêtements et pleins de choses non identifiées ! Ramené avant trie avec la charrette en arrière-plans ? Trouvé sur la plage ? Aucun animal, reniflant le butin. À vomir je vous dis ! Et je reste effectivement humble devant cette horrible ( typique ? ) stereviews....
« L’Irlande a été marquée, comme l’Europe en général, par une très forte
émigration. Le point de départ n’est pas la Grande Famine de 1845-1849.
Puisque entre 1815 et 1845 déjà, presque un million de personnes quittent
l’Irlande. Le développement d’un champignon, responsable du pourrissement des
récoltes de pommes de terre (principale ressource alimentaire de la population)
pendant trois années consécutives, contribue à l'intensification de ces flux.
L’émigration est pour beaucoup d’Irlandais la seule alternative à la malnutrition
et aux épidémies qu’il entraîne. Si les migrations irlandaises sont plus précoces que celles de leurs homologues
européens, la destination privilégiée apparaît la même : les États-Unis (80 %
contre 20 % pour la Grande-Bretagne, l’Australie et les colonies britanniques).
Les facteurs d'émigration sont tout autant caractéristiques : au-delà de la
pénurie alimentaire, la forte fécondité a renforcé un mouvement causé par le
retard industriel des villes irlandaises : l’exode rural se transforme en émigration
vers des villes étrangères en plein essor.
Après un voyage éprouvant, la plupart s’installent dans les grandes villes de la
côte Est et constituent un prolétariat employé aux tâches les plus pénibles et les
moins rémunérées. Pays de tous les espoirs, les États-Unis sont loin de
constituer un Eldorado pour les immigrés tant l’intégration des Irlandais aux
États-Unis suscite des réactions xénophobes de la part des natifs (en raison de
différences culturelles, notamment religieuses). Si certains peuvent même revendiquer une belle réussite sociale, le lien entre la diaspora irlando-américaine et le pays d’origine reste fort. »
S:
www.ac-clermont.fr/disciplines/fileadmin/user_upload/Hist...
Humble but happy homes of the Claddagh fisher-folk. Galway, Ireland 1903
Title to vomit! Humble and happy; happy to be humble or humble even with their happiness? It is true that personally it makes me want to be humble and happy by seeing this course of dwellings of sinners filled with rubbish even of stones!
The task of the kids is to put in order . Fabric, clothes and many unidentified things! Brought back before sorts with the wagon in the background? Found on the beach? No animals, sniffing the loot. To vomit I tell you! And I actually remain humble before this horrible ( typical? ) stereviews....
« Ireland, like Europe in general, was marked by a very strong
emigration. The starting point is not the Great Famine of 1845-1849.
Since between 1815 and 1845 already, almost one million people leave
Ireland. The development of a fungus, responsible for the decay of
potato harvests (the main food resource of the population)
for three consecutive years, contributes to the intensification of these flows.
Emigration is for many Irish the only alternative to malnutrition
and the epidemics it causes. If Irish migration is earlier than that of their counterparts
The preferred destination appears to be the same: the United States (80%)
against 20% for Great Britain, Australia and the British colonies).
The factors of emigration are equally characteristic: beyond the
food shortage, high fertility has reinforced a movement caused by the
industrial backwardness of Irish cities: rural exodus turns into emigration
towards booming foreign cities.
After a difficult journey, most of them settled in the big cities of the
East coast and constitute a proletariat employed to the most painful tasks and the
countries of all hopes, the United States is far from
the integration of the Irish into the
The United States provokes xenophobic reactions on the part of the natives (due to
cultural differences, including religious differences). If some may even
to claim a great social success, the link between the Irish diaspora-
America and the country of origin remains strong. »
S:
www.ac-clermont.fr/disciplines/fileadmin/user_upload/Hist...