adrien185
The tower and the calf
L'on pourrait se demander pourquoi je m'évertue à écrire encore et encore dans un endroit non dédié aux bavardages et seulement lu par une ou deux personnes à tout casser. Il y a deux raisons à cela :
La première est que cela me permet de ne pas "perdre la main" niveau écriture et aussi de perfectionner mon style petit à petit. Bien sûr, ici je ne me relis jamais ou seulement plus plus tard et je ne cherche pas à trop me prendre la tête et laisse mon inspiration voguer de mots en mots.
La seconde et que j'ai toujours aimé être de nature discrète voire secrète. J'ai un peu le syndrome du "prestidigitateur" qui va tromper votre concentration en l'amenant bien loin de là où il opère véritablement. Si je claque des doigts de la main gauche, vous pouvez être sur que c'est la droite qu'il faudrait regarder.
Il y a aussi un petit coté égoïste; d'échanger directement avec l'existence sans passer par les autres. Un moyen de briser le 4 eme mur à ma façon. Il y a aussi le plaisir coupable de se relire et de se redécouvrir. Je dois le confesser, j'adore me relire encore et encore, j'adore mes histoires, je n'y peux rien ! En plus, j'ai les intonations qu'il faut et la rythmique adaptée alors forcément ça rend toujours mieux. J'ai toujours préféré mes histoires à celles des autres. Je crois n'avoir jamais vraiment été fan de quelque chose d'autre et encore moins de quelqu'un.
Dans ma conception de l'existence, chacun devrait se considérer comme sa propre œuvre. J'ai toujours eu du mal avec les gens qui s'empêchent de briller, qui jouent les faux-modestes ou qui se considèrent comme peu de chose. Faut-il être aveugle jusqu'à quel point pour ne pas voir le potentiel infini qui nous habite ?
Quand on me dit : "Mais Adrien, c'est impossible !", j'aime répondre : "Pour toi, oui.". Nos croyances limitantes sont comme des chaînes nous empêchant de nous dévoiler sous notre véritable jour.
J'ai souvent des gens qui me disent que j'ai "trop confiance en moi" mettant en lumière le fait que paradoxalement eux n'ont pas vraiment confiance en eux. Je leur explique alors que j'ai la façon de penser d'un champion. Aucun de ces derniers ne pensent pas être ou vouloir devenir le meilleur. On n'arrive pas au sommet par hasard et c'est le fruit d'un long combat acharné contre ses faiblesses et ses limites.
C'est amusant car avec des amis on avait fait un tour de table pour connaître les rêves profonds de chacun. Je savais que j'allais probablement surprendre et ça n'a pas loupé, entre les rêves de bonheur des uns, de santé ou de richesse des autres, le mien était bien loin des considérations humaines. Je leurs ai dit quelque chose comme : "Depuis de nombreuses vies je continu de bâtir mon rêve le plus profond petit à petit : celui de devenir l'entité existentielle la plus puissante qui soit. Je veux tout savoir et que rien, en bien comme en mal, ne puisse m'influencer". Autant vous dire que tu laisses un blanc, entre celui de Michel qui souhaite rencontrer l'âme-sœur et Ginette qui veut gagner à l'euro-million.
Les vicissitudes propre à ma condition humaine ne sont pas si importantes que ça. Si je souffre c'est que j'apprends et si je vais bien alors je m'ennui et c'est que je perds mon temps. Bien sûr, il faut savoir prendre le temps du repos entre deux blessures mais il ne faut pas chercher à traverser ce champ de bataille sans une égratignure. Je chérie la voie de la souffrance et une de mes devises "Durabo" (je durerai ou en plus élégant "je souffrirai avec patience," emprunté à la devise de Jean d'Aragon") en est le parfait exemple.
L'ambition, voilà ce qui m'habite depuis la nuit des temps. Je suis prêt à sacrifier énormément de choses pour y parvenir et absolument rien ne m'arrêtera, ni dans cette vie ni dans la suivante.
"Un jour, je serai la pluie et le beau temps"
The tower and the calf
L'on pourrait se demander pourquoi je m'évertue à écrire encore et encore dans un endroit non dédié aux bavardages et seulement lu par une ou deux personnes à tout casser. Il y a deux raisons à cela :
La première est que cela me permet de ne pas "perdre la main" niveau écriture et aussi de perfectionner mon style petit à petit. Bien sûr, ici je ne me relis jamais ou seulement plus plus tard et je ne cherche pas à trop me prendre la tête et laisse mon inspiration voguer de mots en mots.
La seconde et que j'ai toujours aimé être de nature discrète voire secrète. J'ai un peu le syndrome du "prestidigitateur" qui va tromper votre concentration en l'amenant bien loin de là où il opère véritablement. Si je claque des doigts de la main gauche, vous pouvez être sur que c'est la droite qu'il faudrait regarder.
Il y a aussi un petit coté égoïste; d'échanger directement avec l'existence sans passer par les autres. Un moyen de briser le 4 eme mur à ma façon. Il y a aussi le plaisir coupable de se relire et de se redécouvrir. Je dois le confesser, j'adore me relire encore et encore, j'adore mes histoires, je n'y peux rien ! En plus, j'ai les intonations qu'il faut et la rythmique adaptée alors forcément ça rend toujours mieux. J'ai toujours préféré mes histoires à celles des autres. Je crois n'avoir jamais vraiment été fan de quelque chose d'autre et encore moins de quelqu'un.
Dans ma conception de l'existence, chacun devrait se considérer comme sa propre œuvre. J'ai toujours eu du mal avec les gens qui s'empêchent de briller, qui jouent les faux-modestes ou qui se considèrent comme peu de chose. Faut-il être aveugle jusqu'à quel point pour ne pas voir le potentiel infini qui nous habite ?
Quand on me dit : "Mais Adrien, c'est impossible !", j'aime répondre : "Pour toi, oui.". Nos croyances limitantes sont comme des chaînes nous empêchant de nous dévoiler sous notre véritable jour.
J'ai souvent des gens qui me disent que j'ai "trop confiance en moi" mettant en lumière le fait que paradoxalement eux n'ont pas vraiment confiance en eux. Je leur explique alors que j'ai la façon de penser d'un champion. Aucun de ces derniers ne pensent pas être ou vouloir devenir le meilleur. On n'arrive pas au sommet par hasard et c'est le fruit d'un long combat acharné contre ses faiblesses et ses limites.
C'est amusant car avec des amis on avait fait un tour de table pour connaître les rêves profonds de chacun. Je savais que j'allais probablement surprendre et ça n'a pas loupé, entre les rêves de bonheur des uns, de santé ou de richesse des autres, le mien était bien loin des considérations humaines. Je leurs ai dit quelque chose comme : "Depuis de nombreuses vies je continu de bâtir mon rêve le plus profond petit à petit : celui de devenir l'entité existentielle la plus puissante qui soit. Je veux tout savoir et que rien, en bien comme en mal, ne puisse m'influencer". Autant vous dire que tu laisses un blanc, entre celui de Michel qui souhaite rencontrer l'âme-sœur et Ginette qui veut gagner à l'euro-million.
Les vicissitudes propre à ma condition humaine ne sont pas si importantes que ça. Si je souffre c'est que j'apprends et si je vais bien alors je m'ennui et c'est que je perds mon temps. Bien sûr, il faut savoir prendre le temps du repos entre deux blessures mais il ne faut pas chercher à traverser ce champ de bataille sans une égratignure. Je chérie la voie de la souffrance et une de mes devises "Durabo" (je durerai ou en plus élégant "je souffrirai avec patience," emprunté à la devise de Jean d'Aragon") en est le parfait exemple.
L'ambition, voilà ce qui m'habite depuis la nuit des temps. Je suis prêt à sacrifier énormément de choses pour y parvenir et absolument rien ne m'arrêtera, ni dans cette vie ni dans la suivante.
"Un jour, je serai la pluie et le beau temps"