Eric Périé
Confinement saison 2 - jour 38 | Derrière les barreaux
Qu'est-ce que c'est beau la liberté. C'est coloré, c'est lumineux, c'est vivant. Et qu'est-ce qu'elle nous manque quand elle est regardée à travers des barreaux. Tous les barreaux. Ceux d'une vraie prison, ceux que les autres élèvent devant nous, ou ceux que nous nous fabriquons et qui enferment nos propres vies. Ce sont ceux-là les plus difficiles à faire tomber certainement. Rien n'est plus compliqué que de sortir d'une prison dont nous sommes le propre geôlier. Parce qu'il faut accepter de tuer ce que nous pensions être pour espérer renaître. Vaste chantier.
Le temps pour y arriver peut être long, une vie entière parfois. Mais tout reste possible tant qu'une lumière est en nous, aussi faible soit-elle. Rien ne résiste à ce qui nous éclaire profondément de l’intérieur, à cet autre que nous sommes vraiment et qui tambourine un jour ou l’autre pour pouvoir sortir. A une condition : que nous acceptions de lui ouvrir la porte pour le laisser vivre et s’épanouir.
C’est vrai pour chacun de nous, mais c'est aussi vrai pour ce monde. Mais le monde veut-il vraiment sortir de sa propre prison ?
Confinement saison 2 - jour 38 | Derrière les barreaux
Qu'est-ce que c'est beau la liberté. C'est coloré, c'est lumineux, c'est vivant. Et qu'est-ce qu'elle nous manque quand elle est regardée à travers des barreaux. Tous les barreaux. Ceux d'une vraie prison, ceux que les autres élèvent devant nous, ou ceux que nous nous fabriquons et qui enferment nos propres vies. Ce sont ceux-là les plus difficiles à faire tomber certainement. Rien n'est plus compliqué que de sortir d'une prison dont nous sommes le propre geôlier. Parce qu'il faut accepter de tuer ce que nous pensions être pour espérer renaître. Vaste chantier.
Le temps pour y arriver peut être long, une vie entière parfois. Mais tout reste possible tant qu'une lumière est en nous, aussi faible soit-elle. Rien ne résiste à ce qui nous éclaire profondément de l’intérieur, à cet autre que nous sommes vraiment et qui tambourine un jour ou l’autre pour pouvoir sortir. A une condition : que nous acceptions de lui ouvrir la porte pour le laisser vivre et s’épanouir.
C’est vrai pour chacun de nous, mais c'est aussi vrai pour ce monde. Mais le monde veut-il vraiment sortir de sa propre prison ?