Sillé-le-Guillaume (Sarthe, Pays-de-la-Loire Fr) – Le bonheur de la forêt
.
L’entends déjà le pas de la fleur
Qui annonce le printemps.
Sapho (Σαπφώ / Sapphṓ, Lesbos, Gr., VIIème et VIème s. av. JC)
*
Se oye el paso de la flor que viene
Y anuncia ya la primavera.
Safo (Σαπφώ / Sapphṓ, Lesbos, Gr., s. VII y VI a.de JC)
*
Photo : Coccinelle dans le bois de Sillé-le-Guillaume. La coccinelle est un animal bien aimé, qui, dit-on, quand il vient nous porte chance. C’est un animal protagoniste de tant et tant légendes dans beaucoup de traditions séculaires. Au XXe siècle, un homme, accusé d’avoir assassiné son patron est condamné à la décapitation. Il proteste (en vain) avec véhémence. Au moment où le bourreau va abattre sa hache, il remarque une coccinelle posée sur le coup du pauvre homme. De sa grosse main, il la retire délicatement, reprend sa hache et s’apprête de nouveau à infliger la sentence lorsqu’il aperçoit la coccinelle située sur le coup du condamné. Le roi, présent comme à chaque exécution, y voit un signe divin et décide de gracier l’homme. Quelques jours plus tard, le vrai meurtrier est découvert. Une autre version, datant de la même époque, explique que les pucerons ravageaient les récoltes, ce qui allait engendrer une grande période de famine. Désespérés, les fermiers se mirent à prier la Sainte-Vierge. Par la suite, des nuées de coccinelles atterrirent et dévorèrent les pucerons, ce qui sauva les récoltes. Les fermiers virent en cet événement une intervention divine.
*
Foto: Mariquita en el bosque de Silé-le-Guillaume. La mariquita es un animal querido, que, se dice, cuando llega nos trae suerte. Es un animal que protagoniza numerosas leyendas en muchas seculares tradiciones. En el siglo XX, un hombre acusado de haber asesinado a su jefe es condenado a decapitación. Él protesta (en vano) con vehemencia. Justo cuando el verdugo está ya a punto de bajar su hacha, ve una mariquita posada sobre el cuello del pobre. Con su gran mano la retira con delicadeza, toma su hacha y se dispone nuevamente a imponer la sentencia cuando ve la mariquita situada en el cuello del condenado. El rey, presente como en cada ejecución, lo vio como un signo divino y decidió perdonar al hombre. Unos días después, se descubre al verdadero asesino. Otra versión, que data de la misma época, explica que los pulgones asolaban los cultivos, lo que provocaría una gran época de hambruna. Desesperados, los agricultores comenzaron a rezar a la Santísima Virgen. Posteriormente, enjambres de mariquitas aterrizaron y devoraron los pulgones, salvando las cosechas. Los agricultores vieron este evento como una intervención divina.
Sillé-le-Guillaume (Sarthe, Pays-de-la-Loire Fr) – Le bonheur de la forêt
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L’entends déjà le pas de la fleur
Qui annonce le printemps.
Sapho (Σαπφώ / Sapphṓ, Lesbos, Gr., VIIème et VIème s. av. JC)
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Se oye el paso de la flor que viene
Y anuncia ya la primavera.
Safo (Σαπφώ / Sapphṓ, Lesbos, Gr., s. VII y VI a.de JC)
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Photo : Coccinelle dans le bois de Sillé-le-Guillaume. La coccinelle est un animal bien aimé, qui, dit-on, quand il vient nous porte chance. C’est un animal protagoniste de tant et tant légendes dans beaucoup de traditions séculaires. Au XXe siècle, un homme, accusé d’avoir assassiné son patron est condamné à la décapitation. Il proteste (en vain) avec véhémence. Au moment où le bourreau va abattre sa hache, il remarque une coccinelle posée sur le coup du pauvre homme. De sa grosse main, il la retire délicatement, reprend sa hache et s’apprête de nouveau à infliger la sentence lorsqu’il aperçoit la coccinelle située sur le coup du condamné. Le roi, présent comme à chaque exécution, y voit un signe divin et décide de gracier l’homme. Quelques jours plus tard, le vrai meurtrier est découvert. Une autre version, datant de la même époque, explique que les pucerons ravageaient les récoltes, ce qui allait engendrer une grande période de famine. Désespérés, les fermiers se mirent à prier la Sainte-Vierge. Par la suite, des nuées de coccinelles atterrirent et dévorèrent les pucerons, ce qui sauva les récoltes. Les fermiers virent en cet événement une intervention divine.
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Foto: Mariquita en el bosque de Silé-le-Guillaume. La mariquita es un animal querido, que, se dice, cuando llega nos trae suerte. Es un animal que protagoniza numerosas leyendas en muchas seculares tradiciones. En el siglo XX, un hombre acusado de haber asesinado a su jefe es condenado a decapitación. Él protesta (en vano) con vehemencia. Justo cuando el verdugo está ya a punto de bajar su hacha, ve una mariquita posada sobre el cuello del pobre. Con su gran mano la retira con delicadeza, toma su hacha y se dispone nuevamente a imponer la sentencia cuando ve la mariquita situada en el cuello del condenado. El rey, presente como en cada ejecución, lo vio como un signo divino y decidió perdonar al hombre. Unos días después, se descubre al verdadero asesino. Otra versión, que data de la misma época, explica que los pulgones asolaban los cultivos, lo que provocaría una gran época de hambruna. Desesperados, los agricultores comenzaron a rezar a la Santísima Virgen. Posteriormente, enjambres de mariquitas aterrizaron y devoraron los pulgones, salvando las cosechas. Los agricultores vieron este evento como una intervención divina.