Saint Sébastien, la Justice et la Paix.
Chapelle Saint-Sébastien ou du Pilier vert
Cette chapelle, située au croisement du transept et du côté nord du double déambulatoire du chœur, fut créée en 1339 par l'évêque Jean de Cherchemont, elle a été placée sous le vocable de saint Sébastien. Sa décoration fut réalisée par Nicolas Blasset, en 1634 à la demande de Jean Hémart et François Mouret, maître de la confrérie du Puy Notre-Dame et fut restaurée en 1832 par les frères Duthoit.
Elle comporte un petit autel surmonté d'un imposant retable de marbre sculpté et partiellement doré avec en son centre un tableau. Ce tableau, représentant la Crucifixion, est attribué au peintre flamand Guillaume Hergosse (XVIIIe siècle), il provient du couvent amiénois des religieuses fontevristes du Prieuré de Moreaucourt. De part et d'autre du tableau se trouvent, à droite, une statue de saint Louis, roi de France, portant la couronne d'épines dans la main droite, l'épée au côté, la main gauche sur un bouclier, à gauche, la statue de saint Roch accompagné de son chien, œuvre de Nicolas Blasset datée de 1634. La statue de saint Louis fut refaite en 1832 par les Frères Duthoit. Au-dessus de l'ensemble a été placée une statue de saint Sébastien transpercé de flèches, la tête entourée de chérubins. De chaque côté du sommet du tableau, encadrant, en contrebas, saint Sébastien se trouvent deux statues : la Justice, reconnaissable à la balance qu'elle sert contre elle et la Paix portant une corne d'abondance. Les trois saints, saint Louis, saint Roch et saint Sébastien, étaient invoqués lors des épidémies de peste. Les balustrades sont en marbre noir à balustres de cuivre.
Saint Sébastien, la Justice et la Paix.
Chapelle Saint-Sébastien ou du Pilier vert
Cette chapelle, située au croisement du transept et du côté nord du double déambulatoire du chœur, fut créée en 1339 par l'évêque Jean de Cherchemont, elle a été placée sous le vocable de saint Sébastien. Sa décoration fut réalisée par Nicolas Blasset, en 1634 à la demande de Jean Hémart et François Mouret, maître de la confrérie du Puy Notre-Dame et fut restaurée en 1832 par les frères Duthoit.
Elle comporte un petit autel surmonté d'un imposant retable de marbre sculpté et partiellement doré avec en son centre un tableau. Ce tableau, représentant la Crucifixion, est attribué au peintre flamand Guillaume Hergosse (XVIIIe siècle), il provient du couvent amiénois des religieuses fontevristes du Prieuré de Moreaucourt. De part et d'autre du tableau se trouvent, à droite, une statue de saint Louis, roi de France, portant la couronne d'épines dans la main droite, l'épée au côté, la main gauche sur un bouclier, à gauche, la statue de saint Roch accompagné de son chien, œuvre de Nicolas Blasset datée de 1634. La statue de saint Louis fut refaite en 1832 par les Frères Duthoit. Au-dessus de l'ensemble a été placée une statue de saint Sébastien transpercé de flèches, la tête entourée de chérubins. De chaque côté du sommet du tableau, encadrant, en contrebas, saint Sébastien se trouvent deux statues : la Justice, reconnaissable à la balance qu'elle sert contre elle et la Paix portant une corne d'abondance. Les trois saints, saint Louis, saint Roch et saint Sébastien, étaient invoqués lors des épidémies de peste. Les balustrades sont en marbre noir à balustres de cuivre.