Manicomio di R
Cet ancien hôpital psychiatrique, situé au cœur d'une petite ville paumée d'Italie, renferme un bien sombre passé. En effet, dans ce manicomio (maison de fou), les opérations pratiquées par les médecins étaient barbares, c'était de la torture.
Parmi celles-ci, il y avait l'électrochoc, qui consistait à envoyer des décharges électriques dans le cerveau.
La plus cruelle était la pratique de la lobotomie. C'est une intervention chirurgicale qui consiste à enlever une partie du cerveau. Ce genre d'intervention était bien évidemment inefficace.
Les patients de cet asile n'étaient pas seulement des personnes atteintes de maladies mentales, il y avait aussi des orphelins. Normal ou pas, le fait de ne pas avoir de famille était une raison suffisante pour être enfermé entre 4 murs. Un ancien patient qui était orphelin, témoigne, dans un article de presse, sa vie passé derrière ces murs de l'horreur. Les médecins lui disaient "qu'il était fou dans sa tête "! Alors que c'était une personne normale. Il a eu la chance de pouvoir sortir grâce à la fermeture progressive des manicomios dû aux pratiques jugées inadaptées et cruelles.
Malheureusement, tout les patients de cet asile n'ont pas eu la même chance. Beaucoup ont eu le temps de mourir derrière ces murs, sans jamais revoir le monde extérieur.
Manicomio di R
Cet ancien hôpital psychiatrique, situé au cœur d'une petite ville paumée d'Italie, renferme un bien sombre passé. En effet, dans ce manicomio (maison de fou), les opérations pratiquées par les médecins étaient barbares, c'était de la torture.
Parmi celles-ci, il y avait l'électrochoc, qui consistait à envoyer des décharges électriques dans le cerveau.
La plus cruelle était la pratique de la lobotomie. C'est une intervention chirurgicale qui consiste à enlever une partie du cerveau. Ce genre d'intervention était bien évidemment inefficace.
Les patients de cet asile n'étaient pas seulement des personnes atteintes de maladies mentales, il y avait aussi des orphelins. Normal ou pas, le fait de ne pas avoir de famille était une raison suffisante pour être enfermé entre 4 murs. Un ancien patient qui était orphelin, témoigne, dans un article de presse, sa vie passé derrière ces murs de l'horreur. Les médecins lui disaient "qu'il était fou dans sa tête "! Alors que c'était une personne normale. Il a eu la chance de pouvoir sortir grâce à la fermeture progressive des manicomios dû aux pratiques jugées inadaptées et cruelles.
Malheureusement, tout les patients de cet asile n'ont pas eu la même chance. Beaucoup ont eu le temps de mourir derrière ces murs, sans jamais revoir le monde extérieur.