Discrète transaction
Ankaramena (Madagascar) - Le marché aux zébus d’Ankaramena n’est pas un grands rendez-vous pour les éleveurs de bovins. En tout cas, pas comme celui d’Ambalavao à plusieurs centaines de kilomètres vers l’Ouest, où l’on peut voir des rassemblements de plus de 1000 bovins.
Ici, quand une petite soixantaine de zébus changent de propriétaires, c’est une bonne journée pour le négoce.
Elever des zébus à Madagascar est une profession particulièrement rentable. Si certains vieux éleveurs aiment toujours se vêtir en guenilles pour illustrer le dicton selon lequel il vaut mieux faire pitié qu’envie, les plus jeunes n’hésitent plus à s’habiller dans le style « branché malgache ».
Sur cette scène deux zébus vont changer de propriétaire. L’homme accroupi tient dans ses mains une petite boite en plastique dans laquelle se trouve l’argent de la transaction.
Ankaramena (Madagascar) - The Ankaramena zebu market is not a major event for cattle breeders. In any case, not like that of Ambalavao several hundred kilometers to the West, where we can see gatherings of more than 1000 cattle.
Here, when around fifty zebus change owners, it’s a good day.
Raising zebus in Madagascar is a particularly profitable profession. If some old breeders still like to dress in rags to illustrate the saying that it is better to be pitied than envied, the youngest no longer hesitate to dress in the “trendy Malagasy” style.
On this scene two zebus will change owners. The crouching man holds in his hands a small plastic box containing the money from the transaction.
Discrète transaction
Ankaramena (Madagascar) - Le marché aux zébus d’Ankaramena n’est pas un grands rendez-vous pour les éleveurs de bovins. En tout cas, pas comme celui d’Ambalavao à plusieurs centaines de kilomètres vers l’Ouest, où l’on peut voir des rassemblements de plus de 1000 bovins.
Ici, quand une petite soixantaine de zébus changent de propriétaires, c’est une bonne journée pour le négoce.
Elever des zébus à Madagascar est une profession particulièrement rentable. Si certains vieux éleveurs aiment toujours se vêtir en guenilles pour illustrer le dicton selon lequel il vaut mieux faire pitié qu’envie, les plus jeunes n’hésitent plus à s’habiller dans le style « branché malgache ».
Sur cette scène deux zébus vont changer de propriétaire. L’homme accroupi tient dans ses mains une petite boite en plastique dans laquelle se trouve l’argent de la transaction.
Ankaramena (Madagascar) - The Ankaramena zebu market is not a major event for cattle breeders. In any case, not like that of Ambalavao several hundred kilometers to the West, where we can see gatherings of more than 1000 cattle.
Here, when around fifty zebus change owners, it’s a good day.
Raising zebus in Madagascar is a particularly profitable profession. If some old breeders still like to dress in rags to illustrate the saying that it is better to be pitied than envied, the youngest no longer hesitate to dress in the “trendy Malagasy” style.
On this scene two zebus will change owners. The crouching man holds in his hands a small plastic box containing the money from the transaction.