« A la bonne soupe »
Antsirabe( Madagascar) - « A la bonne soupe », c’est le nom de cette gargote d'un petit bidonville proche du centre-ville. Il y a deux ans, les cabanes en bois, tôles, bâches et carton avaient été rasées à 90% afin de laisser place nette, mais boueuse, pour les taxis de brousse de courtes distances. Quand j'y suis retourné cette année, les taxis avaient trouvé un autre parking, distant de quelques centaines de mètres, pour charger et déposer leurs passagers. Les pauvres reprennent possession des lieux. Jusqu'à la prochaine expulsion. Pour survivre les résidents du bidonville s’improvisent gargotiers, pour les rares voyageurs qui passent encore par là.
"To the Good Soup"
Antsirabe (Madagascar) - "A la bonne soup" is the name of this eatery in a small slum near the city center. Two years ago, the wooden, sheet metal, tarpaulin and cardboard huts were 90% razed to make way for short-distance bush taxis. When I returned this year, the taxis had found another place, a few hundred meters away, to load and drop off their passengers. The poor regain possession of the premises. Until the next eviction. To survive, the residents of the slum improvise themselves as innkeepers, for the few travelers who still pass by.
« A la bonne soupe »
Antsirabe( Madagascar) - « A la bonne soupe », c’est le nom de cette gargote d'un petit bidonville proche du centre-ville. Il y a deux ans, les cabanes en bois, tôles, bâches et carton avaient été rasées à 90% afin de laisser place nette, mais boueuse, pour les taxis de brousse de courtes distances. Quand j'y suis retourné cette année, les taxis avaient trouvé un autre parking, distant de quelques centaines de mètres, pour charger et déposer leurs passagers. Les pauvres reprennent possession des lieux. Jusqu'à la prochaine expulsion. Pour survivre les résidents du bidonville s’improvisent gargotiers, pour les rares voyageurs qui passent encore par là.
"To the Good Soup"
Antsirabe (Madagascar) - "A la bonne soup" is the name of this eatery in a small slum near the city center. Two years ago, the wooden, sheet metal, tarpaulin and cardboard huts were 90% razed to make way for short-distance bush taxis. When I returned this year, the taxis had found another place, a few hundred meters away, to load and drop off their passengers. The poor regain possession of the premises. Until the next eviction. To survive, the residents of the slum improvise themselves as innkeepers, for the few travelers who still pass by.