Préparation des chapatis
Varanasi (Inde) - La Kharbuza n’est pas le bidonville le plus déshérité du monde. Il y a certes des familles très pauvres qui vivent dans des baraques en bambou dont les murs ne sont que des bâches et de vielles couvertures. Les plus « nantis », parviennent à construire de maison en barque et torchis. Ces derniers sont souvent souvent des chauffeurs de taxis, des commerçants ou des salariés relégués ici en raison de la crise du logement. De sorte que le bidonville de La Kharbuza est un lieu de mixité sociale.
La femme présentée ci-dessus, est l’épouse d’un modeste cyclo-pousse. Le couple vit dans une maison de fortune avec son beau-frère et sa belle-soeur. Ils n’ont pas les moyens de s’acheter des matériaux pour construire une maison en dur. En revanche, cette famille a quand même de quoi de se nourrir. Et petit plus, elle a récupéré un vieux téléviseur (visible en arrière-la) et un antique lecteur de DVD pour se distraire.
Mais les revenus ne sont pas suffisants pour se soigner. Cette famille fait donc appelle aux services de l’ONG Action Bénarès, qui offre des consultations gratuites aux habitants du bidonville.
Preparation of chapatis
Varanasi (India) - The Kharbuza is not the most deprived slum in the world. There are certainly very poor families who live in bamboo huts whose walls are nothing but tarpaulins and old blankets. The "better off" manage to build houses in brick and mud. The latter are often taxi drivers, traders or employees relegated here due to the housing crisis. So the slum of La Kharbuza is a place of social diversity.
The woman pictured above is the wife of a modest pedicab. The couple live in a makeshift house with their brother-in-law and sister-in-law. They cannot afford the materials to build a solid house. On the other hand, this family still has something to eat. She recovered an old TV (visible in the background) and an ancient DVD player for entertainment.
But the income is not sufficient to treat oneself. This family therefore calls on the services of the NGO Action Bénarès, which offers free consultations to the inhabitants of the slum.
Préparation des chapatis
Varanasi (Inde) - La Kharbuza n’est pas le bidonville le plus déshérité du monde. Il y a certes des familles très pauvres qui vivent dans des baraques en bambou dont les murs ne sont que des bâches et de vielles couvertures. Les plus « nantis », parviennent à construire de maison en barque et torchis. Ces derniers sont souvent souvent des chauffeurs de taxis, des commerçants ou des salariés relégués ici en raison de la crise du logement. De sorte que le bidonville de La Kharbuza est un lieu de mixité sociale.
La femme présentée ci-dessus, est l’épouse d’un modeste cyclo-pousse. Le couple vit dans une maison de fortune avec son beau-frère et sa belle-soeur. Ils n’ont pas les moyens de s’acheter des matériaux pour construire une maison en dur. En revanche, cette famille a quand même de quoi de se nourrir. Et petit plus, elle a récupéré un vieux téléviseur (visible en arrière-la) et un antique lecteur de DVD pour se distraire.
Mais les revenus ne sont pas suffisants pour se soigner. Cette famille fait donc appelle aux services de l’ONG Action Bénarès, qui offre des consultations gratuites aux habitants du bidonville.
Preparation of chapatis
Varanasi (India) - The Kharbuza is not the most deprived slum in the world. There are certainly very poor families who live in bamboo huts whose walls are nothing but tarpaulins and old blankets. The "better off" manage to build houses in brick and mud. The latter are often taxi drivers, traders or employees relegated here due to the housing crisis. So the slum of La Kharbuza is a place of social diversity.
The woman pictured above is the wife of a modest pedicab. The couple live in a makeshift house with their brother-in-law and sister-in-law. They cannot afford the materials to build a solid house. On the other hand, this family still has something to eat. She recovered an old TV (visible in the background) and an ancient DVD player for entertainment.
But the income is not sufficient to treat oneself. This family therefore calls on the services of the NGO Action Bénarès, which offers free consultations to the inhabitants of the slum.