Photos Studio One
L'obélisque de Ramsès II, Place de la Concorde à Paris
Le plus ancien monument de Paris est bien loin d’être d’origine parisienne et n’a d’ailleurs pas été construit à Paris ! Érigé sous le règne de Ramsès II pour orner le temple de Louxor, l’obélisque de Louxor a a été offert à la France par le vice-roi d’Égype Méhémet Ali en 1830. Placé au centre de la place de la Concorde à Paris, et plus communément désigné sous le nom d’obélisque de la Concorde, le monument date donc du XIIIème siècle avant J-C !
L’obélisque fut embarqué sur un bateau en décembre 1831, puis arriva à Paris en août 1834. Gigantesque avec ses 23 mètres de hauteur et ses 230 tonnes, il fallut de non moins gigantesques cabestans pour l’ériger sur son piédestal, au milieu de la place de la Concorde, en octobre 1836.
Méhémet Ali avait en fait offert les deux obélisques ornant le temple de Louxor. C’est Champollion qui choisit le premier monolithe à transporter. Le second ne quitta finalement jamais l’Égypte, mais fut tout de même officiellement « rendu » par la France en 1981, sous François Mitterand.
L'obélisque de Ramsès II, Place de la Concorde à Paris
Le plus ancien monument de Paris est bien loin d’être d’origine parisienne et n’a d’ailleurs pas été construit à Paris ! Érigé sous le règne de Ramsès II pour orner le temple de Louxor, l’obélisque de Louxor a a été offert à la France par le vice-roi d’Égype Méhémet Ali en 1830. Placé au centre de la place de la Concorde à Paris, et plus communément désigné sous le nom d’obélisque de la Concorde, le monument date donc du XIIIème siècle avant J-C !
L’obélisque fut embarqué sur un bateau en décembre 1831, puis arriva à Paris en août 1834. Gigantesque avec ses 23 mètres de hauteur et ses 230 tonnes, il fallut de non moins gigantesques cabestans pour l’ériger sur son piédestal, au milieu de la place de la Concorde, en octobre 1836.
Méhémet Ali avait en fait offert les deux obélisques ornant le temple de Louxor. C’est Champollion qui choisit le premier monolithe à transporter. Le second ne quitta finalement jamais l’Égypte, mais fut tout de même officiellement « rendu » par la France en 1981, sous François Mitterand.