La Grande Odalisque.
Stéphane Lallemand.
Musée Ingres-Bourdelle.
Montauban, France.
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Stéphane Lallemand reprend l'œuvre "La grande odalisque" d'Ingres. Il s'agit d'une femme nue allongée, dos au spectateur, le visage de profil. Elle porte un tissu sur les cheveux et tient un plumeau à la main, à l'image d'une odalisque (femme esclave des harems). Elle est mise en scène dans un décor qui évoque l'atelier d'Ingres.
L'originalité est le dos du modèle, tatoué d'une colonne vertébrale démesurée.
Le tableau d'Ingres fut critiqué a cause de la dimension exagérée du dos de son odalisque. Selon une analyse scientifique, celle-ci avait trois lombaires et deux vertèbres en trop. Lallemand perce le mystère, comme passé aux rayons X.
La Grande Odalisque.
Stéphane Lallemand.
Musée Ingres-Bourdelle.
Montauban, France.
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Stéphane Lallemand reprend l'œuvre "La grande odalisque" d'Ingres. Il s'agit d'une femme nue allongée, dos au spectateur, le visage de profil. Elle porte un tissu sur les cheveux et tient un plumeau à la main, à l'image d'une odalisque (femme esclave des harems). Elle est mise en scène dans un décor qui évoque l'atelier d'Ingres.
L'originalité est le dos du modèle, tatoué d'une colonne vertébrale démesurée.
Le tableau d'Ingres fut critiqué a cause de la dimension exagérée du dos de son odalisque. Selon une analyse scientifique, celle-ci avait trois lombaires et deux vertèbres en trop. Lallemand perce le mystère, comme passé aux rayons X.