Tonino A
Le Nomade gardien des remparts.
Constitué d’une dentelle de lettres majuscules en acier blanc, il évoque une silhouette humaine aux formes courbes, assise devant la mer, une jambe repliée contre sa poitrine.
Sa face est ouverte, les lettres s’y arrêtent soudainement, comme effacées par la beauté du paysage qu’il contemple. Cette ouverture introduit un côté ludique dans cette œuvre à l’intérieur de laquelle on peut pénétrer.
Jaume Plensa décline ici sa thématique de prédilection : le rapport entre le mot et le corps. L’amoncellement incohérent de lettres qui forment le Nomade, fait de l’homme une créature qui tiendrait sa consistance d’un langage en perpétuelle évolution.
Source Culturez-vous.
Made of a lace of capital steel letters in white steel, it evokes a human silhouette with curved shapes, sitting in front of the sea, one leg folded against his chest.
Its face is open, the letters stop there suddenly, as if erased by the beauty of the landscape it contemplates. This opening introduces a playful side into this work inside which one can penetrate.
Jaume Plensa declines here his favorite theme: the relationship between the word and the body. The incoherent heap of letters which form the Nomad, makes man a creature which would hold its consistency of a language in perpetual evolution.
Source Culturez vous
Le Nomade gardien des remparts.
Constitué d’une dentelle de lettres majuscules en acier blanc, il évoque une silhouette humaine aux formes courbes, assise devant la mer, une jambe repliée contre sa poitrine.
Sa face est ouverte, les lettres s’y arrêtent soudainement, comme effacées par la beauté du paysage qu’il contemple. Cette ouverture introduit un côté ludique dans cette œuvre à l’intérieur de laquelle on peut pénétrer.
Jaume Plensa décline ici sa thématique de prédilection : le rapport entre le mot et le corps. L’amoncellement incohérent de lettres qui forment le Nomade, fait de l’homme une créature qui tiendrait sa consistance d’un langage en perpétuelle évolution.
Source Culturez-vous.
Made of a lace of capital steel letters in white steel, it evokes a human silhouette with curved shapes, sitting in front of the sea, one leg folded against his chest.
Its face is open, the letters stop there suddenly, as if erased by the beauty of the landscape it contemplates. This opening introduces a playful side into this work inside which one can penetrate.
Jaume Plensa declines here his favorite theme: the relationship between the word and the body. The incoherent heap of letters which form the Nomad, makes man a creature which would hold its consistency of a language in perpetual evolution.
Source Culturez vous