Prx.01
La brume est de retour ... (2)
La brume en Dombes, c’est une histoire d’eau. Mais pas seulement. C’est une histoire d’eau qui a quelque chose à voir avec l’air… En effet, l’air contient de l’eau en phase gazeuse. Cette teneur de l’air en vapeur d’eau définit son humidité absolue. Mais la capacité maximale de l’air à contenir de la vapeur d’eau varie en fonction de la température et de la pression. En se refroidissant ou en se détendant, l’air ne peut plus contenir autant de vapeur d’eau. L’humidité relative désigne le rapport entre la quantité de vapeur d’eau effectivement contenue dans l’air et la quantité maximale que l’air peut contenir dans des conditions de température et de pression données. Un simple pourcentage suffit à l’exprimer. Lorsque l’humidité relative s’élève à 100%, l’air est saturé. Il a atteint son point de rosée, c’est-à-dire la température à laquelle il peut être soumis sans que l’eau gazeuse qu’il contient change de phase. En deçà, la vapeur d’eau se condense : des gouttelettes se forment. Ainsi, « le brouillard d’eau est toujours le résultat d’une condensation » (Allix, 1934).
La brume est de retour ... (2)
La brume en Dombes, c’est une histoire d’eau. Mais pas seulement. C’est une histoire d’eau qui a quelque chose à voir avec l’air… En effet, l’air contient de l’eau en phase gazeuse. Cette teneur de l’air en vapeur d’eau définit son humidité absolue. Mais la capacité maximale de l’air à contenir de la vapeur d’eau varie en fonction de la température et de la pression. En se refroidissant ou en se détendant, l’air ne peut plus contenir autant de vapeur d’eau. L’humidité relative désigne le rapport entre la quantité de vapeur d’eau effectivement contenue dans l’air et la quantité maximale que l’air peut contenir dans des conditions de température et de pression données. Un simple pourcentage suffit à l’exprimer. Lorsque l’humidité relative s’élève à 100%, l’air est saturé. Il a atteint son point de rosée, c’est-à-dire la température à laquelle il peut être soumis sans que l’eau gazeuse qu’il contient change de phase. En deçà, la vapeur d’eau se condense : des gouttelettes se forment. Ainsi, « le brouillard d’eau est toujours le résultat d’une condensation » (Allix, 1934).