Jérémy Davoine
Seul dans la nuit
Je suis seul dans la nuit. Personne ne m'attend au lit, mon cœur, de nombreuses fois brisé, n'est plus qu'un champ de ruines. Alors je sors dans les rues, je sors la nuit.
Les jeux, les loisirs, l'argent, les odeurs et goûts de tabac et d'alcool, tout cela est si bon. Tout y est enivrant et tout permet de ne plus ressentir ce cœur brisé, qui est devenu un fardeau sans fin. Mais ce qui est le plus appréciable, ce sont ces lumières.
Elles contrastent avec les ombres plus ou moins profondes, sous un ciel entièrement noir. Elles changent de couleur, passant du bleu, au blanc et aux oranges des lampes au sodium et au rouge.
Je suis un fantôme que personne ne voit, à qui personne ne parle, un fantôme que personne ne saura jamais aimer, mais je me délecte de l'ambiance nocturne de cette ville.
Seul dans la nuit
Je suis seul dans la nuit. Personne ne m'attend au lit, mon cœur, de nombreuses fois brisé, n'est plus qu'un champ de ruines. Alors je sors dans les rues, je sors la nuit.
Les jeux, les loisirs, l'argent, les odeurs et goûts de tabac et d'alcool, tout cela est si bon. Tout y est enivrant et tout permet de ne plus ressentir ce cœur brisé, qui est devenu un fardeau sans fin. Mais ce qui est le plus appréciable, ce sont ces lumières.
Elles contrastent avec les ombres plus ou moins profondes, sous un ciel entièrement noir. Elles changent de couleur, passant du bleu, au blanc et aux oranges des lampes au sodium et au rouge.
Je suis un fantôme que personne ne voit, à qui personne ne parle, un fantôme que personne ne saura jamais aimer, mais je me délecte de l'ambiance nocturne de cette ville.