Jérémy Davoine
Les cendres calcaires
La repentance pour les anciens monuments devrait passer par une véritable politique d'envergure pour le patrimoine, qui fut pendant si longtemps mal restauré. Pour une question matérielle, de temps et d'argent, pendant le XIXe et une partie du XXe siècle, le mortier de chaux a été remplacé par du ciment, voire du béton. Les restaurations pour les joints et les enduits s'en servirent largement. Or, ces matériaux modernes sont incompatibles avec ces maçonneries anciennes, car elles piègent l'humidité dans la pierre, provocant la destruction depuis l'intérieur de ces blocs.
Nous pouvons notamment voir ces effets sur ce contrefort de l'église Saint-Denis de Sanvic, où l'enduit en ciment est érodé et laisse apparaître une partie de la maçonnerie calcaire (pierre de Saint-Leu) très malade.
Les cendres calcaires
La repentance pour les anciens monuments devrait passer par une véritable politique d'envergure pour le patrimoine, qui fut pendant si longtemps mal restauré. Pour une question matérielle, de temps et d'argent, pendant le XIXe et une partie du XXe siècle, le mortier de chaux a été remplacé par du ciment, voire du béton. Les restaurations pour les joints et les enduits s'en servirent largement. Or, ces matériaux modernes sont incompatibles avec ces maçonneries anciennes, car elles piègent l'humidité dans la pierre, provocant la destruction depuis l'intérieur de ces blocs.
Nous pouvons notamment voir ces effets sur ce contrefort de l'église Saint-Denis de Sanvic, où l'enduit en ciment est érodé et laisse apparaître une partie de la maçonnerie calcaire (pierre de Saint-Leu) très malade.