Avant le réveil
Me voici encore une fois dans ces bois loin au-dessus de Curbans. Le sentier violent monte vers les sommets séparant la vallée de la Durance et celle du Gand Vallon (c'est le nom de la rivière). Après une montée ininterrompue, il flâne à flanc de montagne, laissant au randonneur le loisir d'apprécier paisiblement les sous-bois où le printemps ne se signale guère encore. Le feuillage est à nos pieds, mais les troncs se chauffent au soleil d'avril : la renaissance est proche. Six cents mètres de dénivelée, plus de huit kilomètres ; mais je n'ai vu personne. C'est souvent le cas ici.
Autre saison, autres couleurs :
Avant le réveil
Me voici encore une fois dans ces bois loin au-dessus de Curbans. Le sentier violent monte vers les sommets séparant la vallée de la Durance et celle du Gand Vallon (c'est le nom de la rivière). Après une montée ininterrompue, il flâne à flanc de montagne, laissant au randonneur le loisir d'apprécier paisiblement les sous-bois où le printemps ne se signale guère encore. Le feuillage est à nos pieds, mais les troncs se chauffent au soleil d'avril : la renaissance est proche. Six cents mètres de dénivelée, plus de huit kilomètres ; mais je n'ai vu personne. C'est souvent le cas ici.
Autre saison, autres couleurs :