Où Durance passe...
Ici, les arbres ont un feuillage aussi vert qu'ailleurs... Ils ne sont pas davantage envahis par les araignées : ce damier blanc est formé par les filets anti-grêle qui couvrent les champs, parfois à perte de vue.
L'arboriculture est en effet omniprésente sur le cours moyen de la Durance, comme cela se trouve mentionné sur les deux extraits ci-dessous :
L'arboriculture haut-alpine est essentiellement concentrée sur deux vallées : La vallée de la Durance -- allant du barrage de Serre-Ponçon à Sisteron -- (Monêtier-Allemont, la Saulce, Remollon...) et la vallée du Buëch (Aspres, Veynes, Ribiers, Laragne.)
L'altitude moyenne de la zone de production est comprise entre 500 et 650 mètres (Extrêmes de 480 à 1000 mètres).
Les arbres fruitiers sont cultivés dans les Hautes-Alpes depuis très longtemps -- on a retrouvé des documents concernant des transactions de fruits datant de 1358.
Aujourd'hui, il y a plus de 240 exploitations sur les départements Alpins.
C'est le climat qui fait la force de ce terroir : 300 jours de soleil par an, une hygrométrie faible et une luminosité exceptionnelle sont des éléments favorables à la synthèse chlorophyllienne. Le pommier et le poirier sont les deux espèces fruitières dominantes : elles représentent 95% du verger alpin.
Que ce soit en poire ou en pomme, la qualité des fruits des Alpes est connue et reconnue.
Adapté de : www.paysandici.fr/l-arboriculture/
L’arboriculture, c'est 40% des produits agricoles haut-alpins et le chiffre d’affaires le plus important du monde agricole départemental. Elle compte 168 exploitations pour 1 400 hectares dont 95% en pommiers et poiriers. Elle est aussi le 2ème employeur saisonnier, notamment pour le ramassage des 124 500 tonnes de pommes et poires annuelles. Elle se distingue par son IGP (Indication Géographique Protégée) Pommes des Alpes de Haute Durance, validée en 2010.
D'après : www.alpes-et-midi.fr/article/agriculture-coeur-hautes-alpes
Où Durance passe...
Ici, les arbres ont un feuillage aussi vert qu'ailleurs... Ils ne sont pas davantage envahis par les araignées : ce damier blanc est formé par les filets anti-grêle qui couvrent les champs, parfois à perte de vue.
L'arboriculture est en effet omniprésente sur le cours moyen de la Durance, comme cela se trouve mentionné sur les deux extraits ci-dessous :
L'arboriculture haut-alpine est essentiellement concentrée sur deux vallées : La vallée de la Durance -- allant du barrage de Serre-Ponçon à Sisteron -- (Monêtier-Allemont, la Saulce, Remollon...) et la vallée du Buëch (Aspres, Veynes, Ribiers, Laragne.)
L'altitude moyenne de la zone de production est comprise entre 500 et 650 mètres (Extrêmes de 480 à 1000 mètres).
Les arbres fruitiers sont cultivés dans les Hautes-Alpes depuis très longtemps -- on a retrouvé des documents concernant des transactions de fruits datant de 1358.
Aujourd'hui, il y a plus de 240 exploitations sur les départements Alpins.
C'est le climat qui fait la force de ce terroir : 300 jours de soleil par an, une hygrométrie faible et une luminosité exceptionnelle sont des éléments favorables à la synthèse chlorophyllienne. Le pommier et le poirier sont les deux espèces fruitières dominantes : elles représentent 95% du verger alpin.
Que ce soit en poire ou en pomme, la qualité des fruits des Alpes est connue et reconnue.
Adapté de : www.paysandici.fr/l-arboriculture/
L’arboriculture, c'est 40% des produits agricoles haut-alpins et le chiffre d’affaires le plus important du monde agricole départemental. Elle compte 168 exploitations pour 1 400 hectares dont 95% en pommiers et poiriers. Elle est aussi le 2ème employeur saisonnier, notamment pour le ramassage des 124 500 tonnes de pommes et poires annuelles. Elle se distingue par son IGP (Indication Géographique Protégée) Pommes des Alpes de Haute Durance, validée en 2010.
D'après : www.alpes-et-midi.fr/article/agriculture-coeur-hautes-alpes