Tomba delle leonesse
Voir aussi :
www.flickr.com/photos/145414276@N08/47923990147
La nécropole de Monterozzi (en italien : Necropoli dei Monteroz en Italie. Elle est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité établie par l'UNESCO en 2004 avec celle de Banditaccia.
Le site contient 6 000 tombes creusées dans la roche dont sont connues 200 tombes peintes (soit 3 %, dont 50 visitables), dont les plus anciennes remontent au VIIé siècle av. J.-C.
Ce sont, en grande partie, des tombes a camera (voûte à deux pentes et poutre faîtière simulée en terracotta peinte, ne comportant qu'une seule chambre pour un couple).
La qualité des fresques donne des informations sur les rites étrusques mais aussi sur la peinture grecque, presque complètement disparue dans le monde.
La plupart de ces tombes ont été découvertes et fouillées au XVIIIè siècle après avoir été en grande partie pillées et dégradées par les tombaroli.
Les dernières fouilles du XIXè siècle remontent à 1894 et il faut attendre 1958 pour qu'elles reprennent avec l'invention du périscope Nistri mis en œuvre par la fondation Carlo Maurilio Lerici, ingénieur milanais, permettant de contrôler la présence de fresques avant d'engager les travaux.
Depuis de petits édifices individuels équipent une vingtaine de tombes et permettent, de parvenir, par un escalier descendant dans le sol, jusqu'à une porte vitrée et blindée pour admirer les tombes peintes (vides de tout mobilier funéraire).
Tomba delle leonesse
Voir aussi :
www.flickr.com/photos/145414276@N08/47923990147
La nécropole de Monterozzi (en italien : Necropoli dei Monteroz en Italie. Elle est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité établie par l'UNESCO en 2004 avec celle de Banditaccia.
Le site contient 6 000 tombes creusées dans la roche dont sont connues 200 tombes peintes (soit 3 %, dont 50 visitables), dont les plus anciennes remontent au VIIé siècle av. J.-C.
Ce sont, en grande partie, des tombes a camera (voûte à deux pentes et poutre faîtière simulée en terracotta peinte, ne comportant qu'une seule chambre pour un couple).
La qualité des fresques donne des informations sur les rites étrusques mais aussi sur la peinture grecque, presque complètement disparue dans le monde.
La plupart de ces tombes ont été découvertes et fouillées au XVIIIè siècle après avoir été en grande partie pillées et dégradées par les tombaroli.
Les dernières fouilles du XIXè siècle remontent à 1894 et il faut attendre 1958 pour qu'elles reprennent avec l'invention du périscope Nistri mis en œuvre par la fondation Carlo Maurilio Lerici, ingénieur milanais, permettant de contrôler la présence de fresques avant d'engager les travaux.
Depuis de petits édifices individuels équipent une vingtaine de tombes et permettent, de parvenir, par un escalier descendant dans le sol, jusqu'à une porte vitrée et blindée pour admirer les tombes peintes (vides de tout mobilier funéraire).