william 73
Fondation Louis Vuitton (Paris XVI / France)
C’est à partir de cette photo là que je me suis fait virer. Comme d‘hab :-) 2 vigiles sont sortis du bâtiment.
Mais franchement, chez LVMH, les vigiles sont classes (costard cravate) et très sympathiques. C’est vrai en plus. Cela faisait longtemps que je prenais des photos, ils m'ont expliqué qu’ils me surveillaient avec leurs caméras depuis le début (je m'en doutais). Qu’il n’y avait pas de problèmes tant que je ne photographiais pas les bureaux. Dans ces cas-là, discuter ne sert à rien, t’obtempère :-)))) Heureusement ils sont arrivés trop tard car, de la série, c’est la tof que je préfère. La leçon, quand l'on se sait surveillé, c'est de toujours commencer par shooter ce qui ne fâche pas et finir par ce qui fâche. Cela évite d'être virer trop top :-)
Fondation d'entreprise Louis Vuitton :
Le bâtiment, conçu par l'architecte Frank Gehry, est situé au Jardin d'acclimatation, dans le bois de Boulogne à Paris. Ce projet qui se veut une réplique à la fondation Pinault installée à Venise, est l'expression médiatique de la concurrence entre Bernard Arnault, le patron du numéro un mondial du luxe, et son rival François Pinault.
L'inauguration a eu lieu le 27 octobre 2014.
En 2001, Bernard Arnault rencontre Frank Gehry, architecte récompensé par le prix Pritzker en 1989. Il lui confie le projet d’un édifice pour la Fondation Louis Vuitton pour la création, à Paris, au sud du Jardin d'acclimatation.
Sous la main de l’architecte, l’édifice en verre prend l’allure d’un voilier aux voiles gonflées par le vent d'ouest, donnant ainsi l'illusion du mouvement.
Chacune de ces voiles, de forme et de courbure différentes, est soutenue par un jeu sophistiqué de poutres en acier et en bois, et est composée de 3 600 panneaux de verre sérigraphié de pastilles qui réfléchissent 50 % de l'énergie lumineuse.
Les douze voiles de verre translucides enveloppent le bâtiment comparé à un « iceberg », car blanc et entouré d’eau.
Cette partie de la construction, située sous les 12 voiles de verre translucides, est une succession de formes blanches organiques habillés en béton ductal (décomposés en 19 000 panneaux tous différents et décalés pour créer, selon l'expression de Frank Gehry, un motif en « tremblement de terre »). C’est cette « Iceberg », semblant flotter sur son bassin d'eau, qui porte des terrasses arborées. Ces volumes sont séparés par des ouvertures, des failles et des superpositions qui sont refermées par des parois vitrées se décomposant en quarante-six ouvrages de configurations très diverses, si bien qu'il est difficile de distinguer façades et toitures.
Fondation Louis Vuitton (Paris XVI / France)
C’est à partir de cette photo là que je me suis fait virer. Comme d‘hab :-) 2 vigiles sont sortis du bâtiment.
Mais franchement, chez LVMH, les vigiles sont classes (costard cravate) et très sympathiques. C’est vrai en plus. Cela faisait longtemps que je prenais des photos, ils m'ont expliqué qu’ils me surveillaient avec leurs caméras depuis le début (je m'en doutais). Qu’il n’y avait pas de problèmes tant que je ne photographiais pas les bureaux. Dans ces cas-là, discuter ne sert à rien, t’obtempère :-)))) Heureusement ils sont arrivés trop tard car, de la série, c’est la tof que je préfère. La leçon, quand l'on se sait surveillé, c'est de toujours commencer par shooter ce qui ne fâche pas et finir par ce qui fâche. Cela évite d'être virer trop top :-)
Fondation d'entreprise Louis Vuitton :
Le bâtiment, conçu par l'architecte Frank Gehry, est situé au Jardin d'acclimatation, dans le bois de Boulogne à Paris. Ce projet qui se veut une réplique à la fondation Pinault installée à Venise, est l'expression médiatique de la concurrence entre Bernard Arnault, le patron du numéro un mondial du luxe, et son rival François Pinault.
L'inauguration a eu lieu le 27 octobre 2014.
En 2001, Bernard Arnault rencontre Frank Gehry, architecte récompensé par le prix Pritzker en 1989. Il lui confie le projet d’un édifice pour la Fondation Louis Vuitton pour la création, à Paris, au sud du Jardin d'acclimatation.
Sous la main de l’architecte, l’édifice en verre prend l’allure d’un voilier aux voiles gonflées par le vent d'ouest, donnant ainsi l'illusion du mouvement.
Chacune de ces voiles, de forme et de courbure différentes, est soutenue par un jeu sophistiqué de poutres en acier et en bois, et est composée de 3 600 panneaux de verre sérigraphié de pastilles qui réfléchissent 50 % de l'énergie lumineuse.
Les douze voiles de verre translucides enveloppent le bâtiment comparé à un « iceberg », car blanc et entouré d’eau.
Cette partie de la construction, située sous les 12 voiles de verre translucides, est une succession de formes blanches organiques habillés en béton ductal (décomposés en 19 000 panneaux tous différents et décalés pour créer, selon l'expression de Frank Gehry, un motif en « tremblement de terre »). C’est cette « Iceberg », semblant flotter sur son bassin d'eau, qui porte des terrasses arborées. Ces volumes sont séparés par des ouvertures, des failles et des superpositions qui sont refermées par des parois vitrées se décomposant en quarante-six ouvrages de configurations très diverses, si bien qu'il est difficile de distinguer façades et toitures.