Bikefie accompagné
Le majestueux Sajama, le sommet de la Bolivia, qui provoque les cieux du haut de ses 6542 mètres. Immense. Je suis à 4400 mètres déjà et il n'en finit plus de monter. Ça valait la peine que je sorte le trépied pour montrer ma fierté d'y être ! Épuisé et heureux. Rompu de la carcasse et repu de beauté.
Le soir même, dans son livre Berezina, l'éternel voyageur et écrivain sublime, Sylvain Tesson, m'écrit ce qu'est le vrai voyage :
" Une folie qui nous obsède, nous emporte dans le mythe ; une dérive, un délire quoi, traversé d'Histoire, de géographie, irrigué de vodka, une glissade à la Kerouac, un truc qui nous laissera pantelants, le soir, en larmes sur le bord d'un fossé. Dans la fièvre... "
En plein ce que je pense..
Par contre, ces temps-ci, pour ce qui est de l'irrigation, je carbure plutôt aux sodas que réclame mon cerveau en recherche permanente de sucre..
Bikefie accompagné
Le majestueux Sajama, le sommet de la Bolivia, qui provoque les cieux du haut de ses 6542 mètres. Immense. Je suis à 4400 mètres déjà et il n'en finit plus de monter. Ça valait la peine que je sorte le trépied pour montrer ma fierté d'y être ! Épuisé et heureux. Rompu de la carcasse et repu de beauté.
Le soir même, dans son livre Berezina, l'éternel voyageur et écrivain sublime, Sylvain Tesson, m'écrit ce qu'est le vrai voyage :
" Une folie qui nous obsède, nous emporte dans le mythe ; une dérive, un délire quoi, traversé d'Histoire, de géographie, irrigué de vodka, une glissade à la Kerouac, un truc qui nous laissera pantelants, le soir, en larmes sur le bord d'un fossé. Dans la fièvre... "
En plein ce que je pense..
Par contre, ces temps-ci, pour ce qui est de l'irrigation, je carbure plutôt aux sodas que réclame mon cerveau en recherche permanente de sucre..