Jean-Baptiste Corot : "La Bacchante à la panthère"
Huile sur toile, 1855-1860.
Il s'agit là de l'une des compositions les plus étranges de Corot, inspiré par la Renaissance vénitienne. Le corps épanoui de la femme, la perversité de son geste, le contraste avec la bête sauvage se chargent d'une connotation érotique inédite dans son œuvre. La bacchante de Corot, offerte mais vénéneuse, est comme l'envers des jeunes Grecques ou Italiennes rêveuses ou mélancoliques qu'il peignait habituellement.
Oil on canvas, 1855-1860.
This is one of Corot's strangest compositions, inspired by the Venetian Renaissance. The blooming body of the woman, the perversity of her gesture, the contrast with the wild beast take on an erotic connotation unprecedented in her work. Corot's bacchante, offered but poisonous, is like the reverse side of the dreamy or melancholy young Greeks or Italians that he usually painted.
Musée Marmottan-Monet, Paris.
Jean-Baptiste Corot : "La Bacchante à la panthère"
Huile sur toile, 1855-1860.
Il s'agit là de l'une des compositions les plus étranges de Corot, inspiré par la Renaissance vénitienne. Le corps épanoui de la femme, la perversité de son geste, le contraste avec la bête sauvage se chargent d'une connotation érotique inédite dans son œuvre. La bacchante de Corot, offerte mais vénéneuse, est comme l'envers des jeunes Grecques ou Italiennes rêveuses ou mélancoliques qu'il peignait habituellement.
Oil on canvas, 1855-1860.
This is one of Corot's strangest compositions, inspired by the Venetian Renaissance. The blooming body of the woman, the perversity of her gesture, the contrast with the wild beast take on an erotic connotation unprecedented in her work. Corot's bacchante, offered but poisonous, is like the reverse side of the dreamy or melancholy young Greeks or Italians that he usually painted.
Musée Marmottan-Monet, Paris.