[Heiva i Toopua – Aparima Arapia]
Sur une luxuriante oasis perdue au milieu du désert humain contemporain, les demi-dieux de l’Oblivion Antique s’adonnaient aux beaux arts du corps. Entre terre et mer infinie, les rayons du glorieux Aten illuminaient de leurs hauteurs célestes les mouvements charmeurs que la végétation même suivait d’une langueur sensuelle. La chaire et l’esprit allaient à l’unisson sur le souffle du vent, qui portait un message sibyllin vers d’ineffables et lointains horizons. Nichés entre les ailes ardentes du Phoenix d’Orient, voici que nous apparaissaient les mondes légendaires flottant sur l’éther onirique des grâces estivales éternelles ; ô nostalgies des âmes et cœurs sublimés.
[Heiva i Toopua – Aparima Arapia]
Sur une luxuriante oasis perdue au milieu du désert humain contemporain, les demi-dieux de l’Oblivion Antique s’adonnaient aux beaux arts du corps. Entre terre et mer infinie, les rayons du glorieux Aten illuminaient de leurs hauteurs célestes les mouvements charmeurs que la végétation même suivait d’une langueur sensuelle. La chaire et l’esprit allaient à l’unisson sur le souffle du vent, qui portait un message sibyllin vers d’ineffables et lointains horizons. Nichés entre les ailes ardentes du Phoenix d’Orient, voici que nous apparaissaient les mondes légendaires flottant sur l’éther onirique des grâces estivales éternelles ; ô nostalgies des âmes et cœurs sublimés.