Théo Copado - BB67495
Ce n'est pas qu'un au revoir
Ça y est, sans tambours ni trompette, si ce n'est la chasse des dernières rames par certains photographes retardataires, ça en est fini de la livrée TGV Atlantique.
Cette livrée en 34ans d'existence aura eu la peau de la livrée orange dans sa première décennie d'existence, le monopole (ou presque) durant la seconde, et se sera faite virée à petit feu par les livrées Carmillon et Ouigo durant la troisième.
Bien qu'elle ne me laisse pas nécessairement un souvenir impérissable et sans pour autant à l'inverse me réjouir de sa fin, il est indéniable qu'elle représente toute une période et qu'une page de l'histoire du TGV s'est tournée dans une certaine indifférence collective.
Au crépuscule de cette soirée de juillet 2012, encore bien loin du crépuscule de la livrée, les TGV 6504/6486 Evian-les-Bains / Saint-Gervais-les-Bains-le-Fayet - Paris-gare-de-Lyon filent à travers la campagne bourguignonne assuré par les rames 741 et 606.
Ce n'est pas qu'un au revoir
Ça y est, sans tambours ni trompette, si ce n'est la chasse des dernières rames par certains photographes retardataires, ça en est fini de la livrée TGV Atlantique.
Cette livrée en 34ans d'existence aura eu la peau de la livrée orange dans sa première décennie d'existence, le monopole (ou presque) durant la seconde, et se sera faite virée à petit feu par les livrées Carmillon et Ouigo durant la troisième.
Bien qu'elle ne me laisse pas nécessairement un souvenir impérissable et sans pour autant à l'inverse me réjouir de sa fin, il est indéniable qu'elle représente toute une période et qu'une page de l'histoire du TGV s'est tournée dans une certaine indifférence collective.
Au crépuscule de cette soirée de juillet 2012, encore bien loin du crépuscule de la livrée, les TGV 6504/6486 Evian-les-Bains / Saint-Gervais-les-Bains-le-Fayet - Paris-gare-de-Lyon filent à travers la campagne bourguignonne assuré par les rames 741 et 606.