Le retour du grand monarque (Germain Bergeron, métal recyclé, 1985), CSSS Sud de Lanaudière, L'Assomption (Lanaudière), Québec
La base triangulaire servant de socle à l’œuvre est dotée de trois roues dont aucune ne se dirige dans la même direction, de sorte que l’unique mouvement que ce « char royal » pourrait faire serait un mouvement circulaire infini. Cette idée de rotation est-elle là pour permettre aux sujets du roi de l’admirer sous tous ses aspects, telle une icône, ou plutôt pour signifier son incapacité à aller de l’avant? (Pierre-Charles Monahan, 2013)
www.mrclassomption.qc.ca/oeuvres/le-retour-du-grand-monarque
Germain Bergeron est un sculpteur québécois né le 18 décembre 1933 à Sainte-Perpétue-de-Nicolet dans le Centre-du-Québec et décédé à Terrebonne le 29 juin 2017. Son art consistait à des sculptures faites de pièces de métal recyclé. Avant sa carrière de sculpteur, Bergeron fut frère de la Congrégation de Sainte-Croix durant 14 ans au collège Notre-Dame de Montréal où il a enseigné le français et le latin de 1955 à 1960. Il effectua une maîtrise ès arts de l'université Notre-Dame en Indiana en 1969. Il enseigna également les arts à l'École des beaux-arts de Montréal.
collections.mnbaq.org/fr/artiste/600005243
Tout comme Charles Daudelin, Germain Bergeron s’intéresse à la sculpture au contact du frère Jérôme au collège Notre-Dame.
dictionnaire.espaceartactuel.com/artistes/bergeron-germai...
Germain Bergeron n’a jamais eu la langue dans sa poche et n’a jamais hésité à se battre contre l’imbécillité et le manque de conscience. Une démesure qui s’accorde à la taille de ses sculptures! Son audace et son sens de l’humour sont aussi monumentaux que ses sculptures en métal recyclé.
Ses œuvres sont présentes à Lachenaie, à l’Île-des-Sœurs (Le Cycliste, 1990), à Schefferville (L'Homme de fer), à Calgary (Le Patineur de vitesse, pour commémorer le champion olympique Gaétan Boucher), à l'Université de Colombie-Britannique, à Vancouver et dans le métro de Montréal. Commandée par le maire Jean Drapeau et installée à la station Monk, son œuvre «Pic et Pelle» (1976), représente deux personnages créés en hommage aux constructeurs du métro.
upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/0d/Pic_et_Pelle_...
www.metrodemontreal.com/art/bergeron/metro-f.html
Ceci sans compter les œuvres qui ont embelli la résidence familiale de la côte de Terrebonne.
www.larevue.qc.ca/article/2018/09/04/gens-d-ici---germain...
journalmetro.com/local/sud-ouest/1172582/le-pere-de-pic-e...
En 2010, Germain Bergeron fait la rencontre de Robert Brulotte, designer inspiré et visionnaire de L’Assomption, qui se passionne pour l’oeuvre de Bergeron.
Robert Brulotte propose de revamper les oeuvres que Bergeron entrepose chez lui afin de les mettre en valeur et de les exposer au public.
La folie était lancée et rejoint les leaders et gens d’affaires de L’Assomption à qui on propose de créer une exposition des oeuvres à ciel ouvert un peu partout dans le centre-ville.
Ce sont donc 18 sculptures monumentales qui ont été restaurées et installées dans le Quartier des Arts de L’Assomption.
quartierdesarts.ca/evenements/oeuvres-monumentales-entre-...
Frère de Sainte-Croix, mari, père, enseignant, sculpteur prolifique, homme d'affaires et peintre à ses heures, Germain Bergeron, l'homme aux multiples facettes, est féru de la langue française, de sa patrie le Québec ainsi que de son patrimoine.
Il est décédé en 2017 à l'âge de 83 ans à Prévost après avoir habité pendant plus de quarante ans (1970-2010) le domaine nommé "La Bergeronne" à Terrebonne. Son atelier d'Arts visuels puis Galerie d'Art étaient situés dans la petite maison de pierre datant de 1816-1823, contiguë à sa résidence du 310 Côte de Terrebonne, une maison de briques rouges construite en 1918.
C'est à la Bergeronne qu'il réalisait ses sculptures, petites ou monumentales. Il a participé à bon nombre d'expositions individuelles et de groupe au Québec, au Canada, aux États-Unis et en Europe, notamment en France, en Italie et en Hongrie.
Guy Robert, fondateur du Musée d'Art Contemporain et directeur de la sculpture à l'Expo 67 présente Germain Bergeron comme un "as de la ferraille ". "Travaillant de différentes façons un métal dur et froid, l'artiste parvient à l'adoucir et injecte une sensibilité à son oeuvre qui se métamorphose".
Germain Bergeron se définit comme un poète de la ferraille. Son audace et son sens de l'humour sont tout aussi monumentaux que ses sculptures en métal recyclé. Il étonne par ses associations saugrenues de la ferraille et au niveau des titres qu'il donne à ses sculptures, des jeux de mots tels "Le Canard Alors Ange".
www.labergeronne.com/qui-est-germain-bergeron
Le retour du grand monarque (Germain Bergeron, métal recyclé, 1985), CSSS Sud de Lanaudière, L'Assomption (Lanaudière), Québec
La base triangulaire servant de socle à l’œuvre est dotée de trois roues dont aucune ne se dirige dans la même direction, de sorte que l’unique mouvement que ce « char royal » pourrait faire serait un mouvement circulaire infini. Cette idée de rotation est-elle là pour permettre aux sujets du roi de l’admirer sous tous ses aspects, telle une icône, ou plutôt pour signifier son incapacité à aller de l’avant? (Pierre-Charles Monahan, 2013)
www.mrclassomption.qc.ca/oeuvres/le-retour-du-grand-monarque
Germain Bergeron est un sculpteur québécois né le 18 décembre 1933 à Sainte-Perpétue-de-Nicolet dans le Centre-du-Québec et décédé à Terrebonne le 29 juin 2017. Son art consistait à des sculptures faites de pièces de métal recyclé. Avant sa carrière de sculpteur, Bergeron fut frère de la Congrégation de Sainte-Croix durant 14 ans au collège Notre-Dame de Montréal où il a enseigné le français et le latin de 1955 à 1960. Il effectua une maîtrise ès arts de l'université Notre-Dame en Indiana en 1969. Il enseigna également les arts à l'École des beaux-arts de Montréal.
collections.mnbaq.org/fr/artiste/600005243
Tout comme Charles Daudelin, Germain Bergeron s’intéresse à la sculpture au contact du frère Jérôme au collège Notre-Dame.
dictionnaire.espaceartactuel.com/artistes/bergeron-germai...
Germain Bergeron n’a jamais eu la langue dans sa poche et n’a jamais hésité à se battre contre l’imbécillité et le manque de conscience. Une démesure qui s’accorde à la taille de ses sculptures! Son audace et son sens de l’humour sont aussi monumentaux que ses sculptures en métal recyclé.
Ses œuvres sont présentes à Lachenaie, à l’Île-des-Sœurs (Le Cycliste, 1990), à Schefferville (L'Homme de fer), à Calgary (Le Patineur de vitesse, pour commémorer le champion olympique Gaétan Boucher), à l'Université de Colombie-Britannique, à Vancouver et dans le métro de Montréal. Commandée par le maire Jean Drapeau et installée à la station Monk, son œuvre «Pic et Pelle» (1976), représente deux personnages créés en hommage aux constructeurs du métro.
upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/0d/Pic_et_Pelle_...
www.metrodemontreal.com/art/bergeron/metro-f.html
Ceci sans compter les œuvres qui ont embelli la résidence familiale de la côte de Terrebonne.
www.larevue.qc.ca/article/2018/09/04/gens-d-ici---germain...
journalmetro.com/local/sud-ouest/1172582/le-pere-de-pic-e...
En 2010, Germain Bergeron fait la rencontre de Robert Brulotte, designer inspiré et visionnaire de L’Assomption, qui se passionne pour l’oeuvre de Bergeron.
Robert Brulotte propose de revamper les oeuvres que Bergeron entrepose chez lui afin de les mettre en valeur et de les exposer au public.
La folie était lancée et rejoint les leaders et gens d’affaires de L’Assomption à qui on propose de créer une exposition des oeuvres à ciel ouvert un peu partout dans le centre-ville.
Ce sont donc 18 sculptures monumentales qui ont été restaurées et installées dans le Quartier des Arts de L’Assomption.
quartierdesarts.ca/evenements/oeuvres-monumentales-entre-...
Frère de Sainte-Croix, mari, père, enseignant, sculpteur prolifique, homme d'affaires et peintre à ses heures, Germain Bergeron, l'homme aux multiples facettes, est féru de la langue française, de sa patrie le Québec ainsi que de son patrimoine.
Il est décédé en 2017 à l'âge de 83 ans à Prévost après avoir habité pendant plus de quarante ans (1970-2010) le domaine nommé "La Bergeronne" à Terrebonne. Son atelier d'Arts visuels puis Galerie d'Art étaient situés dans la petite maison de pierre datant de 1816-1823, contiguë à sa résidence du 310 Côte de Terrebonne, une maison de briques rouges construite en 1918.
C'est à la Bergeronne qu'il réalisait ses sculptures, petites ou monumentales. Il a participé à bon nombre d'expositions individuelles et de groupe au Québec, au Canada, aux États-Unis et en Europe, notamment en France, en Italie et en Hongrie.
Guy Robert, fondateur du Musée d'Art Contemporain et directeur de la sculpture à l'Expo 67 présente Germain Bergeron comme un "as de la ferraille ". "Travaillant de différentes façons un métal dur et froid, l'artiste parvient à l'adoucir et injecte une sensibilité à son oeuvre qui se métamorphose".
Germain Bergeron se définit comme un poète de la ferraille. Son audace et son sens de l'humour sont tout aussi monumentaux que ses sculptures en métal recyclé. Il étonne par ses associations saugrenues de la ferraille et au niveau des titres qu'il donne à ses sculptures, des jeux de mots tels "Le Canard Alors Ange".
www.labergeronne.com/qui-est-germain-bergeron