DSC_0735
Ma gueule,
Oui, elle s’abîme ma gueule,
Dans les amers abîmes noirs,
Du temps en triste mémoire,
Pendant que les jours dégueulent.
Ces yeux qui voulaient tant viser,
L’avenir en ligne de mire,
Dévisagent la mort venir,
Déjà mon corps est vandalisé.
Ne baise pas encore les yeux,
Baise-la cette vie qui coule,
Avant que la fin t’écroule,
Conserve ta gueule de feu.
Ta gueule de feu pour brûler,
Des les enfers où ton âme,
A tant voyagé dans l’infâme,
De ta vie aux bonheurs acculés.
Michaël Overberg
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Ma gueule,
Oui, elle s’abîme ma gueule,
Dans les amers abîmes noirs,
Du temps en triste mémoire,
Pendant que les jours dégueulent.
Ces yeux qui voulaient tant viser,
L’avenir en ligne de mire,
Dévisagent la mort venir,
Déjà mon corps est vandalisé.
Ne baise pas encore les yeux,
Baise-la cette vie qui coule,
Avant que la fin t’écroule,
Conserve ta gueule de feu.
Ta gueule de feu pour brûler,
Des les enfers où ton âme,
A tant voyagé dans l’infâme,
De ta vie aux bonheurs acculés.
Michaël Overberg